Lettre ouverte de Stéphanie Bignon à Cassandre Fristot

 

Chère Cassandre,

Mais qui ose vous accabler, vous juger, vous priver de votre travail ?

Quel état est à ce point fragile pour avoir peur d’une pancarte en carton ?

Qui peut oser défier le raisonnement et la bonne foi à ce point ?

Qui ose exercer son métier de magistrat en en reniant tous les principes ?

Mais pire encore qui peut accorder un quelconque crédit à un système arbitraire, violent, aux abois, en un mot révolutionnaire.

En septembre 1792, les révolutionnaires justifiaient le massacre d’innocents par leur supposé collusion avec les ennemis de l’extérieur. Aujourd’hui, le monde est soi-disant menacé par le Covid et les innocents doivent payer…leur innocence.

La révolution est le moment où la vertu est submergée par le vice. Le désordre, le mensonge, la corruption, les plus laides bassesses dominent les esprits les plus faibles. La révolution détruit la confiance, la bienveillance. La révolution c’est la haine du passé, la peur de son voisin et de l’avenir. Elle est un accès de fièvre, de délire où l’intelligence est occultée.

Mais le plus à craindre est l’effet d’entrainement car accepter la domination du Covid sur nos vies, c’est accepter une révolution, un effondrement de l’humanité vers ses plus bas instincts mis à nu par la peur. Chaque personne sombrant dans le narratif officiel du Covid devient de facto un révolutionnaire et son frère réfractaire devient son ennemi.

Cassandre, Vous êtes jeune, belle, inspirée, courageuse. Vous êtes vraiment française et grâce à vous et d’autres soldats de la Vérité d’hier et d’aujourd’hui, nous savons que notre beau pays existe encore et toujours et malgré ces révolutions. Comme le Chevalier de Charrette vous pourriez dire :

« Mais en face de ces démons

qui renaissent de siècle en siècle,

sommes une jeunesse, Messieurs !

Sommes la jeunesse de Dieu. La jeunesse de fidélité ! »

Merci Cassandre,

Stéphanie Bignon

15 novembre 2021

 

Jeudi 7 octobre : Notre Dame du Rosaire

Il n’y a rien d’impossible à Dieu ! Tiré de l’évangile du jour.
Faire une fête avec une dévotion, ce n’est pas fréquent dans l’Eglise ! Mais avec le chapelet, on pouvait bien faire une exception, notamment en souvenir de la bataille de Lépante. Car cette victoire chrétienne fut un signe extraordinaire du Ciel ! En effet, les Turcs musulmans se proposaient d’envahir tout l’occident chrétien, et leur armada, réputée invincible, allait de victoire en victoire. Le 7 octobre 1571, près des îles Echinades proches de la Grèce, l’armada chrétienne, réunie sous l’impulsion du Pape saint Pie V, affrontait donc un terrible ennemi. Le Pape avait spécialement demandé aux confréries du Rosaire qui fleurissaient depuis le bienheureux Alain de la Roche, d’implorer la protection de la sainte Vierge sur les armées défendant la chrétienté. La bataille s’engagea donc ce matin-là, raconte Jean Dumont, et elle s’engagea mal pour les chrétiens suite à une habile manœuvre de l’amiral Oulouch Ali. Mais, en un instant, on vit un nuage passer dans le ciel, et le vent se mit à tourner, avantageant incroyablement la flotte chrétienne. Le succès fut écrasant : pour une douzaine de vaisseaux perdus, la flotte chrétienne avait détruit près de 300 navires adverses. Fait miraculeux supplémentaire, le Pape eut la révélation de la victoire le jour même, bien avant que la nouvelle arrive à Rome ! Plus tard, à Fatima, la sainte Vierge, sous le titre de Notre Dame du Rosaire, viendra encore nous rappeler l’extraordinaire puissance de cette prière.
Dans un monde qui nous envahit de bruit, de divertissements, ou de travail, et qui suggère que la prière ne sert à rien, quelle bataille de vouloir encore prier ! Pourtant aujourd’hui comme hier, ceux qui prendront leur chapelet sont ceux qui feront bouger ce monde !
Pratique : Une promesse à la sainte Vierge de prier le chapelet durant ce mois.

Abbé Henri Forestier

Saint Michel Archange, protégez nous !

Chers amis de Terre & Famille,

En 2014 nous fondions Terre & Famille à la confluence de la Renonciation de Benoît XVI et de la présentation de l’abominable loi Taubira devant le pouvoir législatif en 2013.

Des millions de bonnes gens sont « montés » à Paris sincèrement outrés à l’idée de « marier deux personnes de même sexe ». Ces manifestants ne se levaient pas pour plus d’argent, moins d’impôts, mais pour sauver la famille, la Civilisation. Cette abomination est une insulte grave à la nature et à Dieu. L’Eglise ne pouvait être complice !

Conduits par des naïfs ou des agents doubles qui voulaient « protéger » le mouvement de tout amalgame « politiquement incorrect », toute cette énergie gratuitement donnée par ces bonnes gens venant de la France entière pour défendre la famille fut dispersée et neutralisée. Ces mêmes organisateurs de défaites sont aujourd’hui totalement absents du combat ultime pour la liberté : l’inviolabilité de nos corps, tabernacles de nos âmes.

Tout ce tintamarre dramatique avait lieu avant Emmanuel Macron, avant la « Plandémie », avant l’incendie de Notre Dame de Paris, avant les Gilets Jaunes et avant les attentats « terroristes » du Bataclan. Souvenez-vous, après le 13 novembre 2015, il fallait ouvrir son sac à main, vous soumettre à des contrôles partout même dans l’entreprise que vous serviez depuis 20 ans. Du jour au lendemain, nous étions tous suspectés d’être des terroristes. Votre sac était devenu la cachette potentielle d’une kalachnikov en pièces détachées ou d’un jihadiste lyophilisé sans doute. Pendant ce temps le même sac à main transporté dans une voiture dans les parkings sous terrains de votre entreprise ne faisait l’objet d’aucune question. L’objectif n’était donc pas de nous protéger mais bien déjà de nous soumettre par la culpabilisation et l’humiliation individuelle et collective.

Depuis toujours, le mensonge tente de monter, comme le lierre, le long du bel arbre généalogique de l’humanité. Mais, la santé de l’arbre et la veille permanente à son pied retenait, ralentissait l’ascension de la plante grimpante. Le relâchement des veilleurs, la corruption des « sommités » a permis au mensonge de progresser. Le feuillage du lierre remplace maintenant celui de l’arbre menacé de mourir.

Le temps que nous vivons est déterminant. La radicalité s’impose sous peine de perdre le cap et un temps précieux.

Cette nébuleuse mondiale, ces champions du Système d’EXPLOITATION doivent, pour garder le contrôle, user de manipulation car leur pouvoir n’est rien face à la puissance des peuples libres. Les expressions tartes à la crème du genre « on se vaccine pour les autres », « on n’a pas le choix », « ce n’est qu’un vaccin comme les autres… » sont des rengaines d’hypnotiseurs, de charmeurs de serpents !

L’assertion « On se vaccine pour les autres » contient une double contrainte symptôme de la perversion. Cette petite phase très sophistiquée vous invite à justifier l’abdication de votre libre consentement par une fausse charité, votre bonne conscience est alors corrompue. Par ailleurs si vous ne vous laissez pas injecter vous êtes un dangereux égoïste. La liberté proposée ici consiste à sauter dans le vide ou à prendre un coup de couteau dans le dos.

Toute cette propagande, ces arguments de malades mentaux prouvent à eux seuls qu’il ne s’agit pas d’un vaccin comme les autres, qu’il ne s’agit pas de nous protéger mais de nous soumettre.

Par la grâce de Dieu, l’intercession de Notre Dame et l’assistance de Saint Michel, nous pouvons leur jouer un tour. Face au précipice, menacés d’un couteau, nous les surprenons par une échappée verticale, nous sommes imprenables. D’un battement d’aile Saint Michel déséquilibrera notre assaillant, il tombera dans le néant.

Que l’Esprit Saint nous éclaire pour construire quand tout s’effondre et qu’Il nous donne la force de tenir dans cette tempête.

Stéphanie Bignon, septembre 2021