Le mot du Curé

 

Chères paroissiennes et Chers paroissiens,

Notre Seigneur Jésus-Christ est roi d’une manière éminente lorsqu’il vit sa Passion et qu’Il est crucifié.

Sur la croix, il est vainqueur de toutes violences. Et par conséquent de tous mensonges.
En effet, la violence est souvent liée au mensonge. On le voit bien dans la passion du Christ : Lui qui n’a cessé de dire tout au long de sa vie qu’Il est venu pour sauver les pécheurs de la mort éternelle, est accusé de vouloir se faire roi de ce monde et de s’opposer à César.
Toutes ses paroles qui sont des paroles de vie, vont être retournées contre Lui.

Le démon est le prince du mensonge. Il ment pour détruire, il déforme la vérité, il jette le trouble, il a horreur de la femme et de l’homme, il veut détruire la famille, supprimer les plus vulnérables. C’est de cette manière que nous pouvons le démasquer.

Le Christ est vraiment roi de l’univers dans sa passion car, Lui qui est Dieu accepte de subir tous les outrages possibles. Il prend sur lui tout le mal pour l’annihiler. Seul Dieu peut faire cela.

Le démon croit avoir gagné en détruisant le Christ, mais en fait c’est volontairement que le Seigneur se laisse bafouer à outrance jusqu’à mourir sur la croix.
Car, par sa mort sur la Croix, Il nous donne la vie en nous sauvant du péché.
Par sa résurrection, Il nous montre qu’il est vainqueur de la mort (Conséquence ultime du péché).
Nous sommes promis, nous aussi, à la résurrection. Alors nous « serons semblables à Lui car nous le verrons tel qu’Il est » (1 Jn 3, 2).

Alors, fêtons le Christ Roi de tout notre cœur et donnons- Lui nos péchés. Il est venu pour cela. Il mendie nos fautes pour nous donner à la place, la Vie et la Vie en plénitude.

Faisons de Lui le roi de tout notre être.

Le Curé

CEP – L’inéluctable retour à la terre par Stéphanie Bignon

Alors que nous descendons tous de ruraux, les paysans ne représentent plus que 4% de la population active et sont aussi oubliés des médias que piégés par l’endettement où conduit l’agriculture productiviste. Pourtant, au fond, l’impasse agricole n’est qu’une facette de l’impasse collective d’une société ayant perdu ses racines et son lien à la terre et, de ce fait, soumise à la mal-bouffe et à une vie urbaine largement pathogène. Le salut sera commun ou ne sera pas!

+ d’infos : le-cep.org