Prenons de l’altitude !

 

Un virus fabriqué, non létal mais déguisé en monstre tueur tient l’Occident en respect et nous pousse à l’autodestruction… comment est-ce possible ?

Le serpent qui susurre à l’oreille d’Eve est bien incapable de la ligoter pour lui faire avaler de force le fruit défendu… car il n’a pas de bras ! De plus il est moins jaloux de son corps que de son âme, de sa liberté d’enfant de Dieu qu’il veut neutraliser. Le serpent doit gagner sa confiance, l’amener à trahir, la corrompre pour asservir son âme.  Adam et Eve succombèrent à l’idée de devenir comme des Dieux et ils durent partir en exil. Aujourd’hui, ils succombent à la peur de mourir. Le Serpent a menti, ils ne sont pas devenus des Dieux, ils vont mourir, seuls, asservis, sans l’aide du Ciel et ils n’ont plus nulle-part où aller.

Ce système serpent n’a ni pied ni bras mais nous lui donnons les nôtres et nous nous servons ou plutôt nous nous desservons, nous nous asservissons nous-même !

Nous nous sommes passionnés pour nos corps en tant que matière et non pas comme expression de notre vie intérieure. Nous avons déserté notre vie intérieure, nous l’avons murée, condamnée comme nous condamnerions une porte devenue inutile. Ce vieux monde poussiéreux devait disparaitre sous les sarcasmes, les persiflages, les flatteries et surtout notre orgueil, ce monstre qui attendait ces derniers siècles dits modernes, pour prendre toute sa dimension et sortir de nous comme un mauvais génie sort de sa lampe.

Seulement voilà… derrière cette ancienne porte vermoulue, il y a une force immense négligée, abandonnée et nous avons maintenant le choix de lui ouvrir et de la nourrir ou de persister à l’ignorer pour le confort de nos égos hypertrophiés, obèses qui ne passeraient pas le chambranle.

Si nous l’ignorons notre vide risque de nous aspirer, de nous effondrer sur nous-même. En effet, nous avons vécu sans nourrir notre esprit et nous avons eu l’impression de tenir debout grâce à un exosquelette, comme les cloportes, composé de contraintes administratives et d’un cadre légal toujours plus coercitifs qui ont remplacé progressivement notre colonne vertébrale, notre force morale. Notre verticalité dépend entièrement de cette structure extérieure à nous même, à notre volonté. Cette dépendance présentée comme un progrès, comme génératrice d‘une humanité « augmentée », fait de nous tous en réalité, des impotents à prothèses. Cette exo structure nous emprisonne et nous contraint. Le processus est en phase terminale : Porter le masque, distanciation sociale, ingénierie sociale camouflée en incohérences et incompétences… L’exosquelette est devenu difforme, monstrueux et nous épouserons sa démence si nous ne réalisons pas que la solution est en nous.

 

Ouvrons cette porte, « levons le siège de Dieu », libérons notre vie intérieure alors nous redeviendrons des forteresses imprenables. Nous sommes les seuls à savoir ce qui est bon pour nos enfants, familles, entreprises… Le droit n’est pas fait pour redéfinir le bon sens. Le droit n’est qu’une prothèse pour compenser la disparition des devoirs. Nous n’avons pas le droit : d’éviter le masque à nos enfants, de rendre visite et soigner nos aïeux, d’enterrer dignement nos morts, de continuer à travailler, de vivre, d’aller à la messe, de mettre de l’eau bénite dans les bénitiers, de préparer Noël dans la joie, nous en avons le DEVOIR !

Après la séduction et la culpabilisation, la peur est l’ultime arme d’asservissement de ce système pervers. Ne lui laissons pas d’emprise et retrouvons, par de petites mais nobles actions, le panache, l’héroïsme de servir au-delà de soi par amour.

Stéphanie Bignon

La vie sans contact – Journal de bord d’une Française en Italie, 1er épisode

 

Un dimanche soir, nous recevons une rafale de SMS de la part de notre voisin. Il faut nous faire tester! Mais non, ce n’est pas personnel, c’est juste une précaution! Vous ne vous êtes pas encore faits tester? Si j’étais vous, je le ferais. Ce n’est pas très responsable. Et le directeur du centre, il est au courant? Vous retirez bien vos enfants de l’école, demain, hein? Ce n’est pas personnel, c’est juste une précaution. Nous souhaitons protéger nos enfants.

22h30. Nous sommes épuisés. S’il a peur de « LA MALADIE », c’est lui qui n’a qu’à retirer ses enfants de l’école. Les nôtres vont bien, grazie mille.
Le lendemain, sa fille n’était pas à l’école. Elle est restée en tout plus d’une semaine enfermée chez elle, avec sa mère tétanisée. La pauvre gamine (à peine 5 ans) ne peut d’ailleurs sortir sans son… j’allais dire son voile. Sans son masque en tissu sur la bouche, qui l’empêche de respirer et l’enferme, peut-être pour toujours, dans la peur de l’autre.
Pourquoi cette pression, cette intrusion dans notre vie personnelle?
Parce qu’il y eu « un cas positif ». Mon Dieu, un cas positif. Au centre où travaillent mon mari et ce voisin. La question est : y a-t-il eu contact, b… de m…? (nous sommes un peu énervés). Souvenons-nous bien. Y a-t-il eu contact? Car il ne faut surtout plus qu’il y ait eu de « contact ». Le contact tue. Ce n’est pas encore écrit sur les boîtes de test, mais ça ne saurait tarder.
L’école sait désormais qu’il y a eu un « cas positif ». Mon fils ne peut entrer immédiatement dans la classe, rejoindre ses camarades. Pas de contact! Surtout pas! On fait appeler la directrice de l’école. Je dois promettre que mon mari n’a eu « aucun contact avec le cas positif ». Notons que ce ne sont plus des « personnes » mais des « cas positifs ». Pas de contact, il faut l’écrire noir sur blanc, et signer sur l’honneur.
Pour permettre à nos enfants de voir leurs camarades de classe et vivre une vie à peu près normale, nous nous exécutons. Mon mari envoie une « auto-certification », jurant qu’il n’y a « pas eu de contact ». Heureusement, la maîtresse a encore la tête sur les épaules et a tout de suite accueilli mon garçon dans sa classe, sans même attendre la preuve de « non contact ».
Je sors et fais une course. Je tends ma carte bleue. C’est « sans contact »!
Je comprends tout. Ils nous font une vie sans contact. Voulons-nous d’une vie sans contact?
 « Une Française en Italie »

Génocide arménien au Haut-Karabagh !

3 octobre 2020 – Lettre ouverte de Mère Arousiag Sajonian aux Français.

Très chers amis,

Depuis maintenant 17 jours, la région du Haut-Karabagh, également appelée Nagorno-Karabagh ou Artsakh, subit une attaque de l’Azerbaïdjan d’une ampleur sans précédent depuis la guerre de 1990-1994 qui avait fait 30 000 morts.

Cette terre du Caucase, au sud-est de l’Arménie, peuplée d’arméniens, fut intégrée arbitrairement par Staline à l’Azerbaïdjan en 1921. A la chute de l’URSS, l’Artsakh a voté son indépendance, faisant valoir son droit à l’autodétermination prévu par le droit international et soviétique. C’est ce droit dont ont usé les républiques soviétiques d’Arménie et d’Azerbaïdjan et qui est refusé à l’Artsakh pour des raisons géopolitiques.

Partout sur les plateaux de télévisions, les experts vous expliquent que cette terre, qui se situe à un carrefour stratégique, attise les convoitises. Mais à cette croisée des mondes : mon peuple vit et meurt depuis 1000 ans. A cette croisée des mondes, se sont construits des centaines de monastères dans lesquels nous proclamons notre foi au Christ depuis le 4ème siècle.

Des puissances obscures se sont unies et levées dans le but de nous anéantir, poursuivant un rêve hégémonique conduit par Monsieur Erdogan.

S’il vous plait, ne détournez pas les yeux devant ce qui n’est rien de moins qu’un nouveau génocide contre ma communauté.

Nos soldats tombent.

Nos civils meurent assassinés quand ils n’ont pas fui avec les enfants.

Nos églises sont détruites.

Ne règne plus dans nos villes que le fracas de bombes interdites par la communauté internationale.

Nous supplions aujourd’hui le monde de réclamer la fin des frappes azéries, turques et djihadistes et de reconnaitre enfin l’indépendance de l’Artsakh.

Le combat qui se joue pour mon peuple : c’est sa survie même. Chaque jour qui passe est un jour de perdu pour ceux qui tombent, et en écrivant cela, je pense également aux familles azéries endeuillées par la folle conquête de Monsieur Aliyev.

A vous tous, je vous demande ardemment de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour interpeller vos élus et dirigeants afin qu’aucun ne puisse dire, comme en 1915 : les arméniens ont été massacrés ET NOUS NE SAVIONS PAS.

Que Dieu nous vienne en aide,

Mère Arousiag Sajonian

Photo Sr Arousiag

C’est juste…

C’est juste 2 semaines, puis 3 mois, puis…
C’est juste 2 mètres
C’est juste se laver les mains plusieurs fois par jour au gel hydroalcoolique, ce qui est néfaste ou toxique.
C’est juste un masque obligatoire à l’intérieur et à l’extérieur même s’il ne sert à rien et que c’est un nid à microbes.
C’est juste des milliers de faillites.
C’est juste des milliers de dépressions.
C’est juste des milliers de suicides.
C’est juste l’augmentation de la pauvreté et du chômage.
C’est juste une récession économique.
C’est juste des multinationales qui font des affaires en or.
C’est juste le retour du plastique à usage unique.
C’est juste des masques jetables partout.
C’est juste le gouvernement qui menace de rentrer dans mon domicile.
C’est juste un état d’urgence sanitaire qui est renouvelé depuis 8 mois.
C’est juste des enfants qui ont peur de tuer leurs grands parents.
C’est juste des milliers de personnes âgées qui sont mortes, seules, grâce aux mesures du gouvernement.
C’est juste des petits en garderie qui n’ont pas accès au visage de leur éducatrice ce qui équivaut à les priver
d’une partie importante de leur développement social et cognitif.
C’est juste que des élèves sont renvoyés de leur école parce qu’ils portent mal le masque, ou parce qu’ils toussent.
C’est juste des sévices et des séquelles à vie pour les jeunes enfants, et une grande partie de la nouvelle génération.
C’est juste des menaces de perdre son travail.
C’est juste des employeurs qui te montrent la porte après t’avoir annoncé que tu n’es pas en accord avec la pensée unique covidienne 2020.
C’est juste l’éclatement des familles pour des discordes d’opinion.
C’est juste l’augmentation de l’utilisation des appareils électroniques chez les jeunes, alors que nous savons qu’il faut les protéger des réseaux sociaux qui sont conçus pour être une addiction.
C’est juste des centaines de festivals et de spectacles annulés.
C’est juste l’art et la culture qui en souffrent.
C’est juste des restaurateurs, des hôteliers, des bars et des cafés qui ne travaillent plus.
C’est juste des milliers de travailleurs qui n’ont plus d’emploi.
C’est juste la limitation de toute interaction sociale.
C’est juste une dette énorme que les générations futures vont devoir payer.
C’est juste que le gouvernement, la santé publique, les médias, encouragent la délation.
C’est juste la police qui fait de la répression dans les restaurants et les bars.
C’est juste des dizaines de thérapeutes, de professions qui sont interdit de pratiquer, d’aider ceux qui sont touchés par tout cela.
C’est juste des médecins qui doivent se taire.
C’est juste le personnel de la santé qui n’en peut plus d’être maltraité.
C’est juste des tests inappropriés qui n’informent pas de la maladie.
C’est juste que les cas positifs ne sont ni malades ni contagieux.
C’est juste que 30 à 40% des tests donnent un résultat erroné.
C’est juste qu’on a enregistré des milliers de décès de la grippe, de la pneumonie ou autre, en accusant à tort le virus du covid.
C’est juste des zones jaune, rouge, des couvres feu, etc… comme dans si nous étions en guerre et occupés.
C’est juste une amende ou une garde à vue et le tribunal, pour ceux qui n’obéissent pas.
C’est juste bientôt, un vaccin obligatoire…
C’est juste l’esprit critique qui disparaît !
Et après, c’est nous les complotistes ?
Un esprit rescapé