2 et 3 septembre 1792: L’effroyable dépeçage de la princesse de Lamballe par les égorgeurs sans-culottes et l’assemblée nationale française la nuit du 31 juillet au 1er août 2020 !

Non seulement sa tête est promenée dans Paris sur une pique, mais son sexe sert de moustache à un de ses bourreaux.

Sur les 8 heures du matin, le 3 septembre 1792, deux gardes nationaux pénètrent dans la chambre de la princesse de Lamballe à la prison de la Force. Sans égard pour son air défait, ils lui intiment l’ordre de les suivre pour être transférée à la prison de l’Abbaye. Arrêtée le 10 août précédent aux Tuileries avec le couple royal, la surintendante de Marie-Antoinette a une mine de déterrée. Elle n’a pas dormi de la nuit.

Elle a rêvé que Marat l’égorgeait sur un monceau de cadavres avant de lui dévorer le coeur. Elle ne veut pas quitter sa cellule. Les rumeurs des massacres opérés depuis la veille dans les prisons parisiennes sont parvenues jusqu’à elle. Toute la nuit, elle a entendu les cris, les hurlements, les roulements de tambours, les injures et les râles. La tuerie aurait été provoquée par la folle rumeur d’un complot aristocratique. Il se murmure que des royalistes auraient planqué des armes dans les prisons pour fomenter une contre-révolution. Le peuple mené par de sanguinaires sans-culottes égorge des centaines de nobles, mais aussi de prêtres, de femmes et d’enfants. Ils sont éventrés, démembrés, hachés, piétinés, désossés et même bouffés ! Ce matin-là, le soleil hésite à se lever, répugnant à illuminer un Paris rougi par les massacres…

Les détenus égorgés à la chaîne

Les deux gardes nationaux se sont retirés pour aller chercher des ordres. Pendant ce temps, la foule rassemblée autour de la prison commence à scander le nom de Lamballe pour réclamer sa mort. Celle-ci tombe évanouie. Sa femme de chambre, qui n’a pas voulu la quitter, la fait revenir à elle. Elle délire. Vers 11 heures, la porte s’ouvre avec fracas, poussée par les deux mêmes gardes nationaux qui lui ordonnent de venir à l’instant parler à des commissaires de la commune l’attendant au greffe. Le temps de passer une robe blanche toute simple et d’enfermer sa magnifique chevelure blonde dans un bonnet de coton, elle les suit. Comme elle hésite encore, ils l’empoignent sans ménagement par le bras.

Dans le greffe, plusieurs sinistres membres du comité de surveillance de la Commune du 10 août, ceints de leur écharpe, jugent les détenus à la chaîne. Aussitôt condamnés à mort, ils sont égorgés par des hommes couverts de sang. Voilà qui plaît à Manuel Valls… À la vue des cadavres et du sang, la princesse de Lamballe s’évanouit de nouveau. Sa femme de chambre la relève. Les menaces reprennent de plus belle. Elle perd de nouveau connaissance. Elle se tord sur le sol. Enfin, la voilà en état de répondre.

« Si vous ne jurez pas, vous êtes morte »

Un juge brandit trois lettres qui ont été trouvées dans son bonnet, dont une de Marie-Antoinette. L’interrogatoire débute :

– Qui êtes-vous ?

– Marie-Louise, princesse de Savoie.

– Votre qualité ?

– Surintendante de la maison de la reine.

– Aviez-vous connaissance des complots de la cour au 10 août ?

– Je ne sais pas s’il y avait des complots au 10 août, mais je sais que je n’en avais aucune connaissance.

– Jurez la liberté, l’égalité, la haine du roi, de la reine et de la royauté.

– Je jurerai facilement les deux premiers, je ne puis jurer le dernier, il n’est pas dans mon coeur.

Entendant cette réponse, un ancien valet de chambre de la princesse mêlée à la foule se penche vers elle. « Jurez donc, si vous ne jurez pas, vous êtes morte. » La princesse se tait. Alors, le juge prononce la phrase : « Qu’on élargisse madame. »

« Je suis perdue »

Comment faut-il interpréter cet ordre ? Certains le prennent au premier degré : le tribunal fait relâcher la princesse. Celle-ci sort donc par le guichet. Voyant les cadavres des détenus assassinés, elle aurait été prise d’un malaise. D’où la méprise des tueurs, qui, la croyant déjà frappée, abattent leurs armes sur elle. Pour d’autres, la phrase du juge est un code arrêté avec les tueurs pour les appeler à frapper. Madame de Lamballe sort donc dans la cour de la prison. Quelqu’un lui recommande de crier « vive la nation ». Mais la vue des cadavres lui fait dire : » Fi ! L’horreur ! » Elle ajoute : « Je suis perdue. » Aussitôt, un garçon perruquier ivre tente de lui enlever sa perruque à la pointe de son sabre. Il fend le front de la malheureuse, qui s’effondre en sang. Deux hommes grimaçant de haine la saisissent sous les bras pour l’obliger à marcher sur les cadavres. Elle est au bord de la syncope. Dans la foule, des voix crient » grâce, grâce ! ». Les assassins hésitent quelques secondes, mais un certain Charlat, tambour de son état, lui porte un terrible coup de bûche à la tête qui l’étend raide. De multiples coups de pique l’achèvent.

Le nègre Delorme, ramené de Saint-Domingue par Fournier l’Américain, s’empare du cadavre pour le déshabiller et éponger le sang afin d’en faire admirer la blancheur aristocratique. Ses gros doigts violent la morte. Il est hilare. La foule s’époumone. Les yeux brillent d’une fureur incontrôlable, les gorges hurlent des insanités, les bras dessinent des obscénités. Un garçon boucher nommé Allaigre s’empare de la tête de la princesse, qu’il sectionne adroitement avec un long couteau de boucher. C’est atroce. L’homme s’enfuit avec son butin sous le bras, bientôt il plantera la tête sur une pique. Pendant ce temps, on continue de profaner le corps dénudé de la princesse. On lui découpe les seins. Le même Charlat déchire les entrailles et arrache le coeur. Plus horrible, un inconnu découpe le sexe, qu’il porte à sa bouche pour en faire une moustache. Certains rapportent des scènes d’anthropophagie.

Insulter le couple royal

Pendant ce temps, la troupe qui s’est emparée de la tête et du coeur entreprend une tournée de Paris pour montrer son trophée. Premier arrêt chez un marchand de vin, rue du cul-de-sac des Prêtres. Les égorgeurs déposent madame de Lamballe sur le comptoir pendant qu’ils vident des pichets de vin. Après avoir obligé le tenancier à boire, la troupe repart. Deuxième arrêt chez un perruquier pour qu’il « accommode la tête de madame de Lamballe ». Menacé de mort, il lui faut obéir. Il lave la longue chevelure blonde collée par le sang, la tresse et la poudre. « Au moins, maintenant, Antoinette peut la reconnaître », lance malicieusement quelqu’un.

Le cortège prend la direction de l’abbaye de Saint-Antoine pour présenter la tête et le coeur à l’abbesse, ancienne amie de la princesse. Cette politesse effectuée, Charlat, qui tient toujours la pique, prend la direction de l’hôtel de Toulouse, demeure de la princesse, pour « faire baiser à cette… ses beaux meubles », mais il y renonce pour se rendre aux Tuileries. Comme on ne les laisse pas entrer avec leur sanglant trophée, ils font demi-tour. C’est alors que surgit l’idée de se rendre à la prison du Temple pour insulter et effrayer le couple royal.

La tête récupérée par un proche

Trois heures viennent de sonner. Sortant de table, Louis XVI et Marie-Antoinette entendent une rumeur enfler. Des tambours battent. Bientôt le cortège est sous leur fenêtre. Des hurlements. Que se passe-t-il ? Un garde municipal, qui découvre le spectacle hideux, referme aussitôt les fenêtres et les rideaux pour épargner le couple royal. L’agitation s’accroît dans la rue. On prend peur. Plusieurs officiers accourent dans la pièce en demandant au Roi de se montrer à la fenêtre pour calmer la foule. Louis XVI exige de savoir ce qui se passe. Un jeune officier répond : « Eh bien, Monsieur, puisque vous voulez le savoir, c’est la tête de madame de Lamballe qu’on veut vous montrer. » Ces mots glacent d’horreur la reine, qui s’évanouit. Ses enfants fondent en larmes. Dehors, les cris se font plus menaçants. On injurie la reine. Les gardes municipaux empêchent l’horrible cortège de pénétrer dans la prison du Temple en plaquant un ruban tricolore sur la porte d’entrée. Colère des tueurs. Finalement, on négocie. Les assassins de la princesse sont autorisés à faire le tour de la tour du Temple, où loge la famille du Roi.

La balade n’est pas achevée. Madame de Lamballe va maintenant se promener sous les fenêtres du Palais-Royal pour saluer le duc d’Orléans, son beau-frère, qui déjeune. Il en perd l’appétit. Direction les Halles, où un boucher s’empare du coeur, le hache et offre à la foule de le manger. Le steak tartare ne faisant pas encore partie de la gastronomie française, tout le monde refuse. Les chiens se régalent. Enfin, la tête et même le corps que les barbares traînaient avec eux sont jetés sur un tas de cadavres devant le Châtelet. Un proche de la famille de Lamballe, qui avait suivi les assassins toute la journée, parvient à récupérer la tête pour la remettre à monsieur le duc de Penthièvre, beau-père de la princesse de Lamballe, qui la fait enterrer à Vernon.

Et c’est cette république qui veut donner des leçons d’humanité…

Source :  http://louis-xvi.over-blog.net/2016/09/03-septembre-1792-l-effroyable-depecage-de-la-princesse-de-lamballe-par-les-egorgeurs-sans-culottes.html?utm_source=_ob_share&utm_medium=_ob_twitter&utm_campaign=_ob_share_auto

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La nuit du 31 juillet au 1er août 2020 par Marie Challe

La nuit du 31 juillet au 1er août 2020, l’assemblée nationale française a adopté un amendement autorisant l’avortement jusqu’à terme. Nous ne discuterons pas ici du critère avancé de « détresse psychosociale » et de ses contours troubles. Nous ne prétendrons pas non plus que ce meurtre organisé d’enfants en bonne santé est plus révoltant que celui, qui avait déjà cours, d’enfants handicapés. Mais cet élargissement au maximum du nombre des victimes potentielles est une occasion de soulever — la dernière, peut-être — le voile qui recouvre les infanticides perpétrés en blouse blanche.

A travers nos esprits étourdis par les vagues continues de l’actualité scandaleuse, à travers nos imaginations insensibilisées à force d’images choc, la pensée d’un nourrisson mis à mort par poison devrait encore parvenir à nous toucher. A nous donner le sursaut de colère et d’énergie combative qui s’empare d’une conscience saine devant le mal.

Car au fond, il n’y a plus que cela à dire. Point de longue considération métaphysique, point de délibération sur les causes, le contexte, les intentions. Celui qui prétend encore au nom d’homme sait bien qu’au-delà des opinions, des époques et de sa liberté même, demeurent un bien et un mal qui nous dépassent. Et que tuer les bébés appartiendra toujours à la seconde catégorie.

J’ai dit « qui peut prétendre au nom d’homme », et pourtant nous ne sommes pas des monstres sanguinaires. Alors comment notre peuple se trouve-t-il engagé dans cet abîme ? Accoutumance ; indifférence ; lassitude ; peur, aussi.

La loi n’est pas encore passée ; il reste peu de temps, mais juste assez pour retrousser nos manches. Pour crier la vérité en place publique, pour descendre dans la rue sans craindre d’attraper le virus ou même de désobéir à un gouvernement criminel si celui-ci devait nous l’interdire sous différents prétextes.

Il ne dépend pas de nous de sauver le monde de l’invasion du mal, mais cette petite portion là, cette petite part, elle, dépend de nous. Nous conservons toujours au fond de nous un courage que nous réservons pour une fantasmagorique occupation nazie au cours de laquelle, nous n’en doutons pas, nous serions de ces résistants héroïques qui vont jusqu’au martyr. Mais si cette heure sombre là ne nous semble pas digne d’étrenner notre héroïsme de réserve, qu’est-ce qui le sera ? Quel palier dans l’abomination attendons-nous ?

Soyons ceux qui aurons su dire : « vous n’irez pas plus loin ».

 

Les masques de l’hystérie

L’avocat, Me Carlo Alberto BRUSA, donne tous les renseignements aux parents pour que leurs enfants ne soient pas obligés de porter le masque à l’école et ailleurs. Il signale aussi comment se faire rembourser les amendes (135 euros) consécutives à l’absence du port du masque.
 
Son adresse :
Réaction 19, Me Carlo Alberto BRUSA,
63, rue de La Boétie, 75008 Paris.

 

NE PRIVEZ PAS LE MONDE DE VOTRE SOURIRE

 

Alors que l’Evangile de dimanche dernier nous parlait de guérison, celle du sourd-muet [1], l’Evangile de ce XIIe Dimanche après la Pentecôte visait plus particulièrement le soin, à travers la parabole du Bon Samaritain. Difficile de ne pas faire à nouveau des rapprochements avec ce que nous vivons depuis des mois où notre monde ne cesse de se déchirer autour du Covid-19 et des mesures à lui opposer.

Comme nous le montre le Bon Samaritain, le soin commence par l’attention bienveillante que l’on porte au malade. Contrairement au prêtre et au lévite, le Samaritain ne se détourne pas de cet homme en détresse, et lui prodigue les premiers soins. C’est sans doute bien imparfait, quelques bandages improvisés, du vin et de l’huile, mais cela soulage le blessé, au moins temporairement, ne serait-ce que par le réconfort de se voir secouru.

A l’époque, Juifs et Samaritains se haïssent cordialement : la « distanciation sociale » est absolue, l’autre est par nature un étranger voire un ennemi ; or, nous retrouvons quelque chose de cela aujourd’hui dans la psychose où l’on nous entretient sous prétexte de risque sanitaire. Notre situation est même bien plus grave car la peur du virus va jusqu’à ébranler les familles, les paroisses, les Etats : privation de contacts, absence de chaleur humaine, défiance de l’autre supposé nous donner la mort, culpabilisation des générations moins exposées etc. Et derrière cette orchestration de la peur, des fins mercantiles, politiciennes et criminelles désormais évidentes [2].

« Inutile » au fort de l’épidémie, de plus en plus obligatoire à mesure que celle-ci s’éteint, le masque devient le signe de soumission à cette tyrannie qui, sous couvert de santé publique, s’attaque aux ultimes fondements de la société naturelle, conformément à des principes managériaux maintes fois dénoncés [3].

Le port systématique et obligatoire du masque est d’autant plus violent pour les catholiques qu’il dissimule un des piliers de notre foi : l’Incarnation, Dieu assumant notre humanité et donc un visage. Celui-ci est l’objet d’une vénération universelle dont Notre-Dame est l’évidente initiatrice : les Nativités ou les Vierges à l’Enfant soulignent couramment cette mystérieuse fascination de la Mère et du Fils se contemplant mutuellement. Au-delà du rapport naturellement fusionnel de la femme avec son nouveau-né, la Sainte Vierge adorait, sous le voile de l’humanité qu’elle Lui avait transmise, le Créateur de toute chose. Quant à l’Enfant-Jésus, quand Sa nature humaine s’émerveillait du charme inégalable de Marie, Sa nature divine s’abîmait dans Sa propre contemplation, reflétée dans l’âme de Sa Mère comme dans un miroir sans tâche.

Le récit de la Visitation témoigne du zèle de Notre-Dame à soulager le prochain et du ravissement que sa seule voix pouvait faire naître même chez un enfant encore dans le sein de sa mère. Depuis son Assomption, la Sainte Vierge ne cesse de prodiguer réconfort, secours et guérison à ceux qui l’invoquent, comme sainte Thérèse encore enfant, guérie par le sourire de la Mère de Dieu. Au cœur des plus grandes difficultés, penser à cette Vierge admirable que Dieu s’est choisie et nous a donnée comme Mère soulage et rassérène.

Enfants de Marie, nous devons nous conformer toujours plus parfaitement au Christ, afin que la Sainte Trinité se laisse deviner dans notre visage, notre voix, notre regard, notre sourire. Nous devons être les reflets incarnés de l’Amour de Dieu pour tout homme, ce que le port du masque, hors de tout bon sens, contrarie dans une large mesure : bien des familles l’ont douloureusement éprouvé en ne pouvant sourire ou parler librement à leurs vieux parents reclus autoritairement dans leurs maisons de retraite. Et combien d’enfants ne seront-ils pas traumatisés de vivre ainsi baillonnés, sans pouvoir lire l’amour de leurs proches sur leurs visages ? Comment la peur et l’abattement ne pourraient-ils pas resserrer leur étreinte dans une telle atmosphère ?

Acte de charité envers le prochain et envers soi-même, témoignage de reconnaissance, de foi et d’espérance inébranlables, le sourire, et a fortiori le rire, sont également des armes redoutables, toujours disponibles, contre les entreprises des ténèbres. En l’occurrence, la gestion calamiteuse de l’épidémie en France et le désoeuvrement dû au confinement ont donné lieu à une profusion de montages aussi drôles que pertinents, tournant en dérision les sordides manigances du système [4]. Même le masque est détourné dans son aspect ou son usage pour devenir un mode de protestation individuelle voire d’appel à la résistance collective [5]. Le Gaulois réfractaire qui sommeille en tout français bien né n’a pas encore été définitivement éradiqué et aux quatre coins du monde, on espère qu’il prenne sa place dans la résistance à l’oppression mondialiste.

Force est hélas à nouveau de constater que l’on ne peut guère compter en général sur le clergé et les consacrés pour résister à la généralisation du masque [6], ne serait-ce qu’au choeur. Comment un prêtre peut-il se présenter devant Dieu, masqué ? Comment pourra-t-on également croire en son ministère de vérité, ministère « prophétique » comme on aime à le répéter aujourd’hui, s’il se laisse aussi docilement baillonner. De même, une religieuse en habit, qui bouleverse et réjouit tant les coeurs, une fois masquée, perd une bonne part de son rayonnement et s’assimile dangereusement à la musulmane en burqua. Ainsi, prêtres et consacrés devraient-ils être les premiers à résister à cette muselière et ce d’autant plus qu’ils ont moins à perdre que les laïcs : pas de situation, pas de famille à nourrir, pas de fortune etc. Les forces de l’ordre, qui pour la plupart préféreraient arrêter les malfrats que de houspiller les honnêtes gens, oseraient-elles verbaliser un religieux voire lui passer les menottes pour refus de port du masque ? Oserait-on le poursuivre en correctionnelle et le condamner ? Chiche ! Le gouvernement ne résisterait probablement pas au scandale médiatique qui en découlerait. Sans en arriver immédiatement à ces extrémités, il y a de multiples façons de manifester sa désapprobation, selon les circonstances et les tempéraments, mais l’Église doit montrer qu’elle n’est pas dupe de cette manipulation par la peur.

Parmi les laïcs, des catholiques lassés de voir leurs pasteurs plus dans leur dos qu’à leur tête, se rapprochent de tous ceux de bonne volonté ayant conservé quelque consistance. Sous la division entretenue par la peur, des initiatives plus profondes commencent à émerger et convergent par delà les frontières : recours contre la réglementation par des particuliers ou des commerçants [7], boycotts, manifestations [8], vidéos d’informations etc., avec une détermination et une ingéniosité qui réchauffent le coeur.

Résistons donc à la tyrannie de la peur, à la soumission aveugle à toute autorité apparente [9] : ne privons pas le monde de notre sourire et même de notre rire car les manigances cauchemardesques des ennemis irréductibles de Dieu et des hommes ne font que hâter le retour du Christ : leur fin est proche comme notre délivrance.

Et j’entendis du trône une forte voix qui disait : « Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu ». Et celui qui était assis sur le trône dit : « Voici, je fais toutes choses nouvelles ». Et il dit : « Ecris, car ces paroles sont certaines et véritables.… » (Apocalypse XXI, 4)

L’abbé

[1] Cf. Le Glaive de la Colombe, Covid-19, Bioéthique : simulacres et asservissements

[2] Ibidem note 5

[3] Cf. Le Glaive de la Colombe, « Vous avez fait de la maison de mon Père une maison de négoce »

[4] On se souviendra notamment des Goguettes ou des réquisitoires « en 4-4-2 » de Marcel D. : « Didier Raoult vs Karine Lacombe » ; « Didier Raoult, Agnès Buzyn / Yves Lévy et la chloroquine » ; « Cymès, Cohen, Ichou, Laurent Alexandre, Hausfater, Calvi… »

[5] Exemple de masques « alternatifs » sur le site de Quartier Libre TV

[6] Il existe bien évidemment des exceptions, comme notamment le « curé enragé » dans sa dernière vidéo du 22 août 2020 : « Dressage en cours : la Muselière et l’infanticide »

[7] Cf. notamment les nombreuses interventions, à la télévision ou sur internet, de Maître Carlo Alberto Brusa, Avocat à la Cour de Paris ou la chaine YouTube d’Ema Krusi – 21 août 2020 – Soutien à l’entreprise, comment aider ?

[8] Première manifestation anti-masque obligatoire à Paris le 29 août 2020, le même jour que la deuxième de Berlin après celle du 1er août qui avait réuni une foule considérable, probablement entre 500.000 et 1.000.000 de personnes.

[9] CfChaîne YouTube d’Ema Krusi – 28 août 2020 – Soumission à l’autorité médiatique

 

 

 

Ne privez pas le monde de votre sourire