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Mois : septembre 2022
Arts Enracinés – Stéphanie Bignon – retour à la terre
Allons tous lire sous les pommiers le dimanche 9 octobre avec Anne Brassié à Trouville !
Libres Paroles, avec Emmanuel Leroy
7e épisode de la Vie sans contact – Journal d’Italie
La plupart de nos amis italiens ont cédé à la propagande et se sont fait injecter la potion délétère à base d’ARN messager. Chacun a pris son temps, chacun a trouvé son excuse, quelques-uns ont choisi le mensonge.
La corrida ou l’euthanasie ?
Mes poules et leur coq vivent en liberté le jour et la nuit ils se protègent dans le poulailler. Le risque de me faire prendre des volailles par le renard en journée est très élevé surtout au printemps.
Cependant l’ouverture matinale du poulailler provoque toujours la même excitation et le même empressement chez mes gallinacés. Comme si la vie ne valait d’être vécue qu’en liberté… au risque de la perdre. La liberté sans le risque n’existe pas et la vie sans la liberté ne vaut rien, m’enseignent mes poules. Notre choix aujourd’hui, plus crucial que jamais, se situe là : sortons-nous du poulailler ou pas ? Acceptons-nous le prix de la liberté ? Et ne pas l’accepter nous protège-t-il de mourir ? Certains voudraient nous faire croire que rester dans le poulailler est le gage de la sécurité, d’une vie paisible et sans risque de mourir.
Lors de l’épidémie de grippe aviaire (H1N1) en 2009, nos poules devaient rester confinées ou… être abattues. Beaucoup d’entre nous ont abattu leur basse-cour sous les menaces de sanctions financières. Je me souviens avoir refusé ces brimades et bravé les interdits en annonçant que si nous acceptions, bientôt c’est nous que nous confinerions sous les mêmes prétextes fallacieux… J’étais cependant loin d’imaginer qu’ils oseraient et surtout que nous accepterions !
Onze ans plus tard… au mieux l’homme est traité comme un animal, au pire comme une maladie de la terre. Cette gradation dans l’hérésie pagano-écologiste vise à détruire l’homme et finalement la Création tout entière.
Nos lointains ancêtres peignaient des bovins et des chevaux dans des cavernes. A Lascaux, 18 000 ans plus tard nous restons fascinés devant ce que ces fresques expriment de continuité, d’intemporalité, d’humanité. Il nous est rappelé notre place dans la Création, les taureaux dessinent rarement leur admiration et leur gratitude…
L’homme de Lascaux me parle et nous nous comprenons, mais le zombie de notre siècle triple injecté à trottinette électrique m’est totalement étranger, impossible de le comprendre.
Ce nouvel homme, cette anti-créature révolutionnaire ne mange plus de viande et estime qu’il doit « sauver » le climat à tout prix. Dans cet esprit il défend le droit des animaux, il combat l’élevage, la chasse à pied, à courre et la corrida.
Cependant, il ne voit aucun inconvénient à l’abattage rituel des animaux, il milite pour le droit à l’avortement de confort, il prépare l’euthanasie de ceux qui l’encombrent, accepte l’omniprésence de l’Etat dans sa vie jusqu’à la résidence surveillée pour lui et sa famille et tout cela au nom de la liberté, de l’égalité et de… la fraternité !?
Le taureau de corrida d’un noir abyssal, la force pure, la vie dans son exubérance est au milieu de l’arène. Il est la pupille d’un œil de pierre deux fois millénaires. Il est la porte d’entrée vers les racines les plus anciennes, les plus profondes, vers l’âme de l’humanité.
Le torero brave et finalement soumet la bête de combat. Pourquoi le torero risque-t-il sa vie, pourquoi fait-il de ce risque une œuvre d’art et pourquoi les spectateurs vibrent-ils à la beauté, la force, le courage, la virtuosité et la noblesse du combat ? Pour nous rappeler le sens de l’honneur ! Et ce rappel est bien utile quand un simple virus nous fait oublier nos grands-parents dans des mouroirs pour finir dans des sacs en plastiques ou encore quand une fille, une sœur sont repoussées, privées de réunion familiale parce qu’elles sont cas contacts ou ne sont pas injectées.
La corrida n’est pas le sacrifice d’un bouc émissaire, le matador s’expose comme ne s’expose pas le sacrificateur dans un abattoir halal ou cacher.
Il ne s’agit pas de donner la mort mais de confirmer notre vocation d’être humain.
Nier le péché originel c’est nier la mort et l’éternité tout à la fois. En niant l’évidence de la mort, celle-ci furtivement se glisse partout dans un pourrissement généralisé. La corrida nous met à notre juste place d’intendant de la Création et face à notre fugace mais noble existence pourvu qu’elle soit libre.
Nous ne sommes libres que d’aimer. Nous avons oublié d’aimer parce que nous avons progressivement oublié d’être libre.
Stéphanie Bignon
VLADIMIR POUTINE DONNE UNE CONFÉRENCE DE PRESSE À L’ISSUE DU SOMMET DE L’OCS
HOMMAGE AUX NON-VACCINÉS, du général Christian Blanchon de l’armée Française
l’intelligence du christianisme par Alain Pascal
6e épisode de la Vie sans contact – journal d’Italie
Il me restait l’Église.
Je confiai mon désarroi à trois prêtres de la paroisse que je fréquentais. L’un après l’autre.
Don F., rencontré dans la rue, me demanda comment nous allions. J’ai dit : mal. La réponse évidemment le surprit. J’ai dit que nous étions en sursis, que nous risquions d’être expulsés d’Italie. Je ne pouvais plus rentrer dans l’école des enfants. Mon mari risquait de perdre son travail. Tous les travailleurs d’Italie doivent être vaccinés ou présenter un test négatif pour pouvoir travailler (tarif des tests : 250 euros par mois). Les plus de cinquante doivent être vaccinés sous peine d’amende. J’ai dit : comment voulez-vous que ça aille? Pour lui, évidemment vacciné, cette histoire semblait rocambolesque. Les gens soumis ne se rendent pas compte de ce que les autres vivent. Et s’ils l’apprennent, le plus souvent ils disent : mais alors, faites-vous vacciner et vous serez tranquille! J’ai demandé au prêtre :
– Que ferez-vous si l’on vous demande de contrôler les pass à l’entrée de votre église? Que ferez-vous si l’on vous oblige à n’autoriser que les personnes vaccinées?
– Non, ce n’est pas le cas, heureusement. On laisse entrer tout le monde.
– Pour l’instant oui, mais que ferez-vous si l’on vous demande de refuser les non-vaccinés dans votre église?
Déjà les non-vaccinés ne pouvaient plus entrer dans les églises pour les concerts de musique sacrée qu’il pouvait y avoir. N’était-ce pas hypocrite?
Il ne sut quoi répondre.
Ce fut une phrase commode et pleine d’espoir qu’il débita machinalement.
– C’est déjà le cas au Canada, vous savez. Seuls les vaccinés peuvent entrer dans les lieux de culte. Vous trouvez ça normal? Vous pensez que les sacrements ne s’adressent qu’à ceux qui obéissent au gouvernement ?
– Non…
J’appris plus tard qu’un évêque local avait écrit dans un journal qu’”un bon chrétien doit se faire vacciner”. Je croyais quant à moi qu’un bon chrétien était quelqu’un qui aimait Dieu et son prochain.
Don F. fut malgré tout un peu ébranlé par notre conversation. Mais, une fois de plus, le malaise fut sans doute mis sur le dos des états d’âme d’une femme sensible qui exagère beaucoup. Il dit qu’il prierait pour nous. Soit.
Le deuxième prêtre me reçut dans la sacristie. C’était un matin. Je rentrais de l’école et j’étais à bout. Des déclarations avaient été faites par Draghi selon lesquelles “les non-vaccinés ne font plus partie de la société”. J’ai dit au prêtre :
Il ne dit rien. J’avais cette fois affaire à un homme empathique.
Je lui demandai s’il y avait des discriminations justes et des discriminations injustes. Il répondit non, tout rejet est en soi mauvais, quel qu’en soit le motif.
J’ai demandé :
– Pourquoi devrais-je faire allégeance à Nabuchodonosor? Qui est mon maître : l’État ou Dieu? Et Dieu ne m’a-t-il pas donné une conscience, que l’Église est censée respecter?
– Si. Vous avez raison.
– Alors pourquoi l’Église se plie-t-elle à Nabuchodonosor? Pourquoi vous vaccinez-vous tous? Pourquoi les masques dans les églises? Les hosties au goût de gel hydro-alcoolique, franchement, je n’en peux plus.
Il était désemparé.
– Pourquoi vous, hommes de Dieu, ne réagissez-vous pas? Pourquoi laissez-vous des gens dans le malheur ? Vous ne savez pas que des milliers de personnes sont jetées dans la rue comme des moins que rien, privées de leur travail sous prétexte qu’ils estiment ne pas devoir recevoir cette injection expérimentale ? Ne vous sentez-vous pas responsable ? Ne croyez-vous pas avoir un mot à dire, au sujet de la charité ?
Il eut une bonne réaction, et je rentrai chez moi relativement en paix, ne serait-ce que d’avoir vidé mon sac.
Quelque temps après, j’appris que le président de la région Campanie avait déclaré que, “pour les non-vaccinés, il ne reste plus que le napalm”. Un médecin de Palerme déclara plus tard que “pour les non-vaccinés, il faudrait bien des camps de concentration”.
“Mais ça, c’était les lois d’Hitler”…
Quelqu’un m’apprit que, non content d’appliquer l’apartheid au Vatican, le pape avait affirmé que les non-vaccinés étaient des “négationnistes suicidaires”.
Nous étions à la veille d’une fête consacrée à “l’unité de l’Église”. Le prêtre (un troisième) appela donc à prier pour cette unité. Venant d’apprendre l’injure qui nous était faite par le pape, je ne pus me retenir d’aller parler au prêtre à l’issue de la messe. J’étais passablement énervée.
– Voici ce que dit le Pape.
Je répétai la somptueuse formule.
Si j’insistais à ce point pour parler à ces prêtres et à ces religieuses, c’est parce que je croyais encore, envers et contre tout, qu’ils étaient dépositaires d’un enseignement supérieur, d’une vision unique, parce que divine, de l’être humain.
Après quelques paroles tendues de part et d’autre, il me répondit :
Première nouvelle! Les martyrs des premiers siècles seront ravis de l’apprendre.
Il se dirigeait vers la porte, m’invitant clairement à sortir. Je ne pus contenir mes larmes. Il me dit de prier.
– Prier, prier, c’est trop facile! Je veux des actes! J’aimerais des prises de position.
La femme hystérique avait encore frappé. On s’écarta de moi, on alla ranger les ustensiles de l’autel, sans même un au-revoir. J’eus droit à un sourire de commisération de la part de la dame du catéchisme.
– Les gens ont l’esprit chamboulé avec tout ce qui se passe, vous savez! Il ne faut pas leur en vouloir!
– D’accord, mais le pape! N’est-il pas censé prôner la paix, être au-dessus de tout ça ?
Pas de réponse.
Je ne remis plus les pieds dans cette église. Je n’avais plus vraiment de refuge.
Une française en Italie