« Quand vous verrez l’abomination de la désolation établie dans le lieu saint »
Les élections américaines ont été truquées !? Non pas possible !!!? Pendant que nous découvrons que la démocratie maçonnique est un leurre, que nous recomptons et recomptons les bulletins de vote des américains, les églises arméniennes tombées à l’ennemi sont profanées, les arméniens chrétiens de l’Artsakh brûlent leur propre maison plutôt que de les laisser aux Azéris musulmans. Ils ont gagné la guerre grâce à la Turquie et à Israël. Benyamin Netanyahou et Recep Tayyip Erdogan ne sont-ils pas les alliés de la Présidence américaine, quelque soit le pantin en place ?
Nos regards devraient, en tant que français, être tournés vers nos frères arméniens. Au lieu d’attendre qu’Oncle Sam nous guide, nous devrions retrouver notre diplomatie de cœur avant de prétendre reprendre la main sur ces psychopathes qui conduisent la planète au désastre. Je rappellerais en passant que Trump comme Biden nous promettent le vaccin de Moderna bourré de nano technologies, d’ARN libres et de luciférase, peste ou choléra ? A votre santé !
Pendant que nous sommes effrayés par un méchant virus qui peine à faire un million de morts dans le monde, pendant que nous regardons sidérés le spectacle indécent des élections américaines, le monde chrétien, c’est-à-dire la seule alternative à cette folie, est mis au pilori avec la participation de notre coupable crédulité.
Redressons-nous intérieurement avec une détermination à faire trembler l’Elysée. Demander la permission à César, pire encore, demander à ce régime qui nous méprise et qui s’est construit contre nous, la permission d’être chrétien est le symptôme d’un grave trouble psychologique : le syndrome de Stockholm. Le peuple français est devenu un peuple de femmes battues à force de séduction, culpabilisation et de terreur.
Quant à nous demander de sacrifier la messe sur l’autel du COVID 19, c’est un comble ! Sacrifier un sacrifice est un paradoxe délétère ! La seule chose qui nous est demandé en tant que chrétien est de nous sacrifier, de passer outre toutes les peurs et de suivre inconditionnellement notre Pasteur. Qui peut remettre en question, remettre à plus tard, LE Sacrifice de Notre Seigneur qui s’est donné LIBREMENT pour nous sauver tous et de tout ? « Ô Jésus ! Céleste médecin, élevé en croix pour guérir nos plaies par les vôtres », ayez pitié.
Là est le gage unique de notre espérance. Le passé est mort, l’éternel demeure. Et cette nature qui ne change pas sera plus forte que l’homme changeant : la terre fidèle, après la crise qui nous tourmente, refera des paysans comme elle refait des fleurs après l’hiver. Ce qu’ils seront, je l’ignore : je sais seulement qu’ils garderont du passé tout ce que le passé contenait d’immortel, qu’ils seront les fils de la terre nourricière, et que le lait de cette mamelle intarissable neutralisera tôt ou tard les poisons sécrétés par la fièvre du siècle. Notre seul refuge contre l’angoisse dont s’accompagne l’agonie de notre civilisation est de savoir qu’il existe, au fond des choses, une nécessité immuable qu’on ne peut pas violer trop longtemps sans mourir et qui, à travers toutes les convulsions de l’histoire, finit toujours par ramener dans son orbite l’humanité égarée. Ce n’est pas en l’homme que nous croyons, car il est des heures où l’homme, aveugle et rebelle, ne peut plus être sauvé que malgré lui ; c’est dans ces lois intangibles de la création, que Dieu a placées comme un garde-fou au bord du néant qui nous fascine. Si grands que soient ses ravages, le mal est toujours fini parce qu’il procède de l’homme éphémère, mais le bien si étouffé qu’il paraisse, est infini parce qu’il descend du Dieu éternel. Il n’est pas permis de désespérer de l’avenir quand on croit à l’éternité.