Le 16 octobre 1793, Place de la Concorde à Paris à midi un quart

Les oubliées de la Révolution : la reine Marie-Antoinette ...

Tableau de William Hamilton décrit par Pascal Dupuy : « Marie-Antoinette apparaît au centre du tableau dans un déshabillé de piqué blanc et coiffée d’un petit bonnet de linon. Cet habit angélique est rehaussé par un éclairage lumineux et contraste avec les vêtements sombres de ceux qui l’entourent. Son attitude est pleine de dignité, toute à ses prières les yeux levés vers le ciel. Elle part pour l’échafaud. L’encadrent Henri Sanson, le bourreau, qui lui lie les mains, et le prêtre constitutionnel – étrangement vêtu comme un prêtre anglican – qu’elle feint d’ignorer et à qui elle a refusé de se confesser. Autour de ce triptyque central, un groupe de soldats assiste à la scène et retient les manifestations bruyantes d’une foule de révolutionnaires composée de poissardes et de sans-culottes grotesques. Derrière eux, d’autres soldats apparaissent amenant avec eux la charrette qui doit mener la condamnée à la guillotine, place de la Révolution. L’exubérance de la foule contraste avec le comportement figé et solennel de la reine, en particulier la poissarde dont les bras levés et nus renvoient aux mains liées de la condamnée, victime passive plus que véritable coupable. Marie-Antoinette représente l’offrande de la république aux passions exacerbées de la foule révolutionnaire. »

Mais qui a exacerbé les passions de la foule ?

N’avons nous pas encore compris que nous sommes poussés à nous autodétruire ? 

Pour se sauver, les créatures au pouvoir vont nous monter les uns contre les autres, par pitié ne tombons plus dans ces pièges démoniaques !

Marie-Antoinette d'Autriche — Wikipédia

IN MEMORIAM

Stéphanie Bignon

Que Saint Michel aide le lycée catholique Le Caousou dans le combat !


Mediacités est un journal indépendant
Toulouse Education Enquête

Publié le 30 septembre 2024 à 18h43

Par Guillaume Bernard

Au lycée catholique Le Caousou, les dérives conservatrices de la direction

Censure d’associations jugées trop« militantes», tabous sur les enseignements liés à la sexualité et refus d’exposer les élèves aux caricatures de Charlie Hebdo… Dans cet établissement privé toulousain, la direction impose ses valeurs morales et catholiques rigoristes. Une posture dénoncée par plusieurs professeurs, qui pose question pour un lycée sous contrat.

Au Caousou, établissement privé toulousain d’enseignement catholique bien réputé pour son classement dans le palmarès des lycées, la liberté pédagogique est respectée… à condition qu’elle ne contrevienne pas à la morale chrétienne. Et pour préserver cette dernière, la direction va plus loin que d’autres établissements affichant tout autant leurs valeurs religieuses. Les récents démêlés d’un enseignant avec sa hiérarchie en sont la parfaite illustration.
Professeur agrégé d’histoire-géographie, Chafik Benchekroun enseigne depuis huit ans dans cet établissement catholique privé sous contrat, niché au cœur de la Côte pavée. En novembre 2022, il souhaite faire intervenir dans une classe de cinquième l’association SOS homophobie dans le cadre d’un cours sur les discriminations, au programme de l’enseignement moral et civique (EMC).
Comme le prévoit la procédure, il contacte alors Sébastien Goulut, son chef d’établissement pour lui demander son autorisation. Dans un échange de courriels, que Mediacités a pu consulter, ce dernier coupe court aux envies du professeur. « Il est nécessaire d’aborder ce sujet délicat de l’homophobie en l’insérant dans un projet plus global avec l’ensemble des discriminations,
handicap, racisme, antisémitisme, sexisme, inégalités sociales», écrit Sébastien Goulut, avant de se dire «réservé» concernant l’Association SOS Homophobie, du fait de « leur côté militant qui pourrait heurter des élèves de cinquième».
Refroidi par cette réponse, Chafik Benchekroun annule son projet. Pour rappel, l’homophobie, ce « sujet délicat» dont parle le directeur fait partie des discriminations condamnées dans le droit français, depuis 2003.
Le Planning familial interdit d’accès.

 

 

Lettre ouverte aux évêques et aux prêtres sur leur lâcheté pendant le délire coronavirus par Jean-Pierre Aussant

 

Chers évêques, chers prêtres (fraternité Saint Pie X incluse),

Nous, les catholiques, nous souffrons. Il nous est difficile de vous pardonner cette lâcheté et cette soumission au système que vous avez manifestées pendant la dictature de l’hygiène. Oui, la pilule ne passe pas. Vous avez cédé sur tout. Du torchon de soumission obligatoire pendant la sainte messe jusqu’à votre approbation de ces vaccins obligatoires qui utilisaient dans leur processus de fabrication des lignées de cellules embryonnaires humaines (enfant à naître avorté) sans oublier votre imbécile crédulité quant à tout ce que pouvaient raconter les apparatchiks sanitaires de l’OMS.

Pourtant, le fait que ce soient les mêmes qui d’un côté sont favorables à l’avortement et de l’autre « pour nous protéger de la grippe » ont écrasé notre liberté et notre dignité la plus fondamentale d’être humain aurait dû vous mettre la puce à l’oreille, non ?

Mais oui, je sais bien que l’Église à une tradition de lâcheté. Ainsi juste après l’arrestation du Seigneur, les apôtres se sont éclipsés comme des lapins, ils ont tous disparu. Tous sans exception. Pierre lui-même, qui deviendra le premier pape, a renié trois fois le Messie pour sauver sa peau (avant que le coq ne chante).

Cependant, si l’Église commence souvent par un acte de lâcheté, elle finit toujours ensuite, portée par l’Esprit Saint, par se reprendre et par produire ses martyrs. Ainsi tous les apôtres finiront en martyrs, de même bien sûr que saint Pierre. Le problème avec vous, chers évêques et chers prêtres, c’est que vous persistez dans votre soumission, non pas votre soumission au Christ, mais votre soumission à la dictature mondiale.

Alors oui, c’est vrai, cette soumission n’est pas une soumission « par approbation » mais bien plutôt une soumission par « lâcheté ». Mais est-ce vraiment mieux ? Le Tout-Puissant n’a-t-il pas dit qu’il vomissait les tièdes ?

Certes, les autres religions, me direz-vous, n’ont pas fait mieux, et c’est vrai. En effet, les membres des sectes protestantes, les musulmans, les bouddhistes, les juifs et sans oublier les mystico-dingos du New Age, eux aussi se sont écrasés pitoyablement. Ils étaient même pires que vous. Mais eux, contrairement à vous qui êtes les vrais porte-paroles du Christ, ne sont pas dans la vérité ; leur suivisme et leur vil comportement n’ont donc au fond aucune importance.

Pour crever l’abcès, chers évêques et chers prêtres, nous attendons maintenant un vrai mea-culpa de votre part.

Cela est la condition sine qua non pour rétablir la confiance. Seul un acte de contrition public pourra rétablir votre crédibilité. Ces dernières années vous avez passé votre temps à vous auto-flageller quant aux accusations d’actes de pédophilie (dont la plupart étaient d’ailleurs infondés et n’étaient rien d’autres que des calomnies issues des médias du système pour démolir l’Église). Eh bien, puisque vous vous excusez pour le mal que souvent vous n’avez pas fait, de grâce, excusez-vous donc pour celui que vous avez fait ! Faites maintenant la même chose quant à votre suivisme. Demandez-nous pardon pour avoir été si lâches, demandez pardon pour avoir cru les bouffons de l’OMS, les journalistes, les apparatchiks du sérail, pour avoir cru toutes ces marionnettes influencées par les démons invisibles dont parle saint Paul ; toutes ces marionnettes qui par ailleurs sont favorables aux pires lois d’infamie et contre-nature de la culture de mort. Comment, vous, les hommes de Dieu, avez-vous donc pu les croire?

Oui, faites-le, ce mea-culpa, et faites-le vite, car en ce moment il nous est difficile de voir vos têtes de lâches (à de très rares exceptions près qui confirment la règle) dans les églises.

C’est sans plaisir, chers évêques et chers prêtres, que j’ai écrit ces lignes.

Jean-Pierre Aussant

Source : https://ripostelaique.com/la-lachete-des-eveques-durant-le-delire-covid.html