Auteur : SBignon
Coup de gueule de Stéphanie Bignon
Les élections américaines ont été truquées !? Non pas possible !!!? Pendant que nous découvrons que la démocratie maçonnique est un leurre, que nous recomptons et recomptons les bulletins de vote des américains, les églises arméniennes tombées à l’ennemi sont profanées, les arméniens chrétiens de l’Artsakh brûlent leur propre maison plutôt que de les laisser aux Azéris musulmans. Ils ont gagné la guerre grâce à la Turquie et à Israël. Benyamin Netanyahou et Recep Tayyip Erdogan ne sont-ils pas les alliés de la Présidence américaine, quelque soit le pantin en place ?
Nos regards devraient, en tant que français, être tournés vers nos frères arméniens. Au lieu d’attendre qu’Oncle Sam nous guide, nous devrions retrouver notre diplomatie de cœur avant de prétendre reprendre la main sur ces psychopathes qui conduisent la planète au désastre. Je rappellerais en passant que Trump comme Biden nous promettent le vaccin de Moderna bourré de nano technologies, d’ARN libres et de luciférase, peste ou choléra ? A votre santé !
Pendant que nous sommes effrayés par un méchant virus qui peine à faire un million de morts dans le monde, pendant que nous regardons sidérés le spectacle indécent des élections américaines, le monde chrétien, c’est-à-dire la seule alternative à cette folie, est mis au pilori avec la participation de notre coupable crédulité.
Redressons-nous intérieurement avec une détermination à faire trembler l’Elysée. Demander la permission à César, pire encore, demander à ce régime qui nous méprise et qui s’est construit contre nous, la permission d’être chrétien est le symptôme d’un grave trouble psychologique : le syndrome de Stockholm. Le peuple français est devenu un peuple de femmes battues à force de séduction, culpabilisation et de terreur.
Quant à nous demander de sacrifier la messe sur l’autel du COVID 19, c’est un comble ! Sacrifier un sacrifice est un paradoxe délétère ! La seule chose qui nous est demandé en tant que chrétien est de nous sacrifier, de passer outre toutes les peurs et de suivre inconditionnellement notre Pasteur. Qui peut remettre en question, remettre à plus tard, LE Sacrifice de Notre Seigneur qui s’est donné LIBREMENT pour nous sauver tous et de tout ? « Ô Jésus ! Céleste médecin, élevé en croix pour guérir nos plaies par les vôtres », ayez pitié.
Pour notre temps, Gustave Thibon dans « Paysages du Vivarais »
Là est le gage unique de notre espérance. Le passé est mort, l’éternel demeure. Et cette nature qui ne change pas sera plus forte que l’homme changeant : la terre fidèle, après la crise qui nous tourmente, refera des paysans comme elle refait des fleurs après l’hiver. Ce qu’ils seront, je l’ignore : je sais seulement qu’ils garderont du passé tout ce que le passé contenait d’immortel, qu’ils seront les fils de la terre nourricière, et que le lait de cette mamelle intarissable neutralisera tôt ou tard les poisons sécrétés par la fièvre du siècle. Notre seul refuge contre l’angoisse dont s’accompagne l’agonie de notre civilisation est de savoir qu’il existe, au fond des choses, une nécessité immuable qu’on ne peut pas violer trop longtemps sans mourir et qui, à travers toutes les convulsions de l’histoire, finit toujours par ramener dans son orbite l’humanité égarée. Ce n’est pas en l’homme que nous croyons, car il est des heures où l’homme, aveugle et rebelle, ne peut plus être sauvé que malgré lui ; c’est dans ces lois intangibles de la création, que Dieu a placées comme un garde-fou au bord du néant qui nous fascine. Si grands que soient ses ravages, le mal est toujours fini parce qu’il procède de l’homme éphémère, mais le bien si étouffé qu’il paraisse, est infini parce qu’il descend du Dieu éternel. Il n’est pas permis de désespérer de l’avenir quand on croit à l’éternité.
Peut-on demander à César l’autorisation d’être chrétien ?
Et si c’était vrai …
La vie sans contact, Journal de bord d’une française en Italie, 2e épisode
Désobéir ou mourir ?
Haut les cœurs !
Origine du Sars-cov-2 & traitements par le docteur Alexandra Henrion-Caude
Prenons de l’altitude !
Un virus fabriqué, non létal mais déguisé en monstre tueur tient l’Occident en respect et nous pousse à l’autodestruction… comment est-ce possible ?
Le serpent qui susurre à l’oreille d’Eve est bien incapable de la ligoter pour lui faire avaler de force le fruit défendu… car il n’a pas de bras ! De plus il est moins jaloux de son corps que de son âme, de sa liberté d’enfant de Dieu qu’il veut neutraliser. Le serpent doit gagner sa confiance, l’amener à trahir, la corrompre pour asservir son âme. Adam et Eve succombèrent à l’idée de devenir comme des Dieux et ils durent partir en exil. Aujourd’hui, ils succombent à la peur de mourir. Le Serpent a menti, ils ne sont pas devenus des Dieux, ils vont mourir, seuls, asservis, sans l’aide du Ciel et ils n’ont plus nulle-part où aller.
Ce système serpent n’a ni pied ni bras mais nous lui donnons les nôtres et nous nous servons ou plutôt nous nous desservons, nous nous asservissons nous-même !
Nous nous sommes passionnés pour nos corps en tant que matière et non pas comme expression de notre vie intérieure. Nous avons déserté notre vie intérieure, nous l’avons murée, condamnée comme nous condamnerions une porte devenue inutile. Ce vieux monde poussiéreux devait disparaitre sous les sarcasmes, les persiflages, les flatteries et surtout notre orgueil, ce monstre qui attendait ces derniers siècles dits modernes, pour prendre toute sa dimension et sortir de nous comme un mauvais génie sort de sa lampe.
Seulement voilà… derrière cette ancienne porte vermoulue, il y a une force immense négligée, abandonnée et nous avons maintenant le choix de lui ouvrir et de la nourrir ou de persister à l’ignorer pour le confort de nos égos hypertrophiés, obèses qui ne passeraient pas le chambranle.
Si nous l’ignorons notre vide risque de nous aspirer, de nous effondrer sur nous-même. En effet, nous avons vécu sans nourrir notre esprit et nous avons eu l’impression de tenir debout grâce à un exosquelette, comme les cloportes, composé de contraintes administratives et d’un cadre légal toujours plus coercitifs qui ont remplacé progressivement notre colonne vertébrale, notre force morale. Notre verticalité dépend entièrement de cette structure extérieure à nous même, à notre volonté. Cette dépendance présentée comme un progrès, comme génératrice d‘une humanité « augmentée », fait de nous tous en réalité, des impotents à prothèses. Cette exo structure nous emprisonne et nous contraint. Le processus est en phase terminale : Porter le masque, distanciation sociale, ingénierie sociale camouflée en incohérences et incompétences… L’exosquelette est devenu difforme, monstrueux et nous épouserons sa démence si nous ne réalisons pas que la solution est en nous.
Ouvrons cette porte, « levons le siège de Dieu », libérons notre vie intérieure alors nous redeviendrons des forteresses imprenables. Nous sommes les seuls à savoir ce qui est bon pour nos enfants, familles, entreprises… Le droit n’est pas fait pour redéfinir le bon sens. Le droit n’est qu’une prothèse pour compenser la disparition des devoirs. Nous n’avons pas le droit : d’éviter le masque à nos enfants, de rendre visite et soigner nos aïeux, d’enterrer dignement nos morts, de continuer à travailler, de vivre, d’aller à la messe, de mettre de l’eau bénite dans les bénitiers, de préparer Noël dans la joie, nous en avons le DEVOIR !
Après la séduction et la culpabilisation, la peur est l’ultime arme d’asservissement de ce système pervers. Ne lui laissons pas d’emprise et retrouvons, par de petites mais nobles actions, le panache, l’héroïsme de servir au-delà de soi par amour.
Stéphanie Bignon