Conférence le 20 mai 2017 à Briant

Terre et Famille

en Brionnais

Samedi  20 mai 2017 à 20h30

salle communale de Briant ( Saône et Loire)

  La route de l’Europe chrétienne

Robert et Claudia Mestelan

Partant de Fatima, de Bangor, de Kiev, de Wadowice ou de Malte, nos conférenciers nous menent sur cette Route de l’Europe Chrétienne qui est un chemin de prière, dont le personnage central est Notre Dame.

Les grands et les petits sanctuaires de la Sainte Vierge, les lieux où des saints ont vécus, les chemins foulés par les évangélistes, sont honorés. Soulignés par la construction d’un oratoire, ces chemins de pèlerinage, ainsi réactivés, permettront à l’Europe de retrouver la fidélité à ses racines.

Après la conférence, Terre et Famille vous invite à prolonger la discussion autour d’un buffet.

terreetfamille@gmail.com

« Les vérités ont été diminuées par les enfants des hommes »

« Les vérités ont été diminuées par les enfants des hommes » (Ps. XI, 1)

« On voudrait dans l’immédiat que je sois un saint mais je suis, mes amis, un homme » nous déclarait récemment un présidentiable contraint de reconnaitre qu’il n’était pas aussi impeccable que le prétendait son service de communication. Cela ne le dissuadait pas pour autant de briguer les plus hautes fonctions d’une France dont il a contribué à l’asservissement, comme bien d’autres il est vrai.
Quoi qu’il en soit, cette dichotomie opposant sainteté et humanité, et non pas sainteté et péché, a de quoi surprendre dans la bouche d’un « catholique affiché ». La sainteté serait-elle incompatible avec la nature humaine ? Ou entendrait-on que la sainteté serait destinée aux consacrés, à une élite de fidèles, mais serait inaccessible, si ce n’est nuisible, aux hommes d’Etat ? « Il faut arrêter de penser que les hommes politiques doivent être des saints. C’est une hypocrisie ! », nous assénait en ce sens l’un des plus fervents soutiens dudit candidat, catholique lui aussi. Que les politiciens, exposés à de continuelles tentations, ne soient pas des saints, c’est ce que l’on peut d’autant plus craindre qu’ils se tiennent éloignés des sacrements. Mais que les hommes politiques n’aient pas à être saints, qu’ils n’aspirent pas à l’être, pas même ceux affichant leurs « valeurs chrétiennes » en période électorale, révèle à quel point la confusion voire le cynisme règnent dans le milieu politique français comme dans une grande part de la population.

« Sauvez-moi, Seigneur, car il n’y a plus de saint, parce que les vérités ont été diminuées par les enfants des hommes » (Ps. XI, 1).

Telle est donc l’origine du mal : l’affadissement doctrinal des « enfants des hommes » dont la compagnie est pourtant le délice de la Sagesse éternelle (Prov., VIII, 31). Et en effet, nombre d’entre nous ont oublié la sainteté dans laquelle furent créés nos premiers parents. Ils se sont accoutumés à la déchéance de notre nature au point de la considérer comme originelle. La sainteté n’est plus pour eux la perfection surnaturelle à laquelle Dieu ne cesse de nous convier : c’est au mieux une dangereuse illusion ; au pire, l’obstacle révoltant à un libre épanouissement dans l’hédonisme le plus effréné.
Renonçant de facto au Ciel dont le Paradis terrestre n’était que les prémices, ils n’aspirent plus guère qu’à vivre le plus longtemps possible en ce monde, libérés au mieux de ses souffrances et de ses imperfections : un bonheur prolongé et naturel (et non plus éternel et surnaturel). S’ils croyaient encore à l’éternité, ils troqueraient volontiers le Paradis céleste pour les Limbes, une ineffable intimité avec Dieu pour une « béatitude à échelle humaine » que la sensualité de l' »Eden musulman » ne tarderait pas à concurrencer.
Exagérant enfin l’autonomie de leur existence, qui ne cesse pourtant de dépendre de l’influx divin, ils en viennent à se croire dignes d’amour par eux-mêmes, et non plus comme objet de l’amour de Dieu, au titre de la création et plus encore de la rédemption (« Vous avez été rachetés à un grand prix », 1Co VI, 20). Coupée de ses fondements religieux, la dignité humaine se voit ainsi réduite à une dimension naturelle, « anthropologique », de plus en plus difficile à défendre : l’atteinte à la vie humaine n’est plus un « crime contre Dieu » (Dr Xavier Dor) mais contre l’homme, un homme « libéré » de sa condition de créature pour être au final souvent assimilé à un animal voire à un amas de cellules.

Faut-il dès lors s’étonner que dans ce monde privé du Dieu de Vérité, d’Amour et de Vie, le relativisme, la duperie, la haine de soi et de l’autre soient devenus la règle générale ? Le monde politique n’est que le reflet de notre société et nous avons les gouvernants que nous méritons, qu’ils soient laïques ou ecclésiastiques. Malheureusement, beaucoup trop de catholiques, sous couvert de « réalisme », en viennent à taire qu’ils sont enfants de Dieu, compromettant leur sanctification et la réforme vertueuse des institutions.

« Chacun d’eux a proféré des choses vaines à son prochain, leurs langues sont trompeuses, et ils ont parlé avec un coeur double » (Ps. XI, 2).

Reléguant leur foi dans la sphère privée, les uns prônent une France « laïque et républicaine » comme si le catholicisme pouvait être contraire au bien commun. Ils invoquent les « racines chrétiennes de la France » et célèbrent indifféremment les cathédrales et les sans-culottes, sainte Jeanne d’Arc et Robespierre. Les autres conçoivent des « points non-négociables » de façon restrictive (vie, famille, école) voire modulable selon les opportunités politiques. Ainsi peuvent-ils manifester en nombre pour la défense de la famille et passer sous silence la question de l’avortement ; défendre la vie mais uniquement sur des fondements naturels et dans des structures « aconfessionnelles ». De même, un politicien supposé pratiquant et défavorable au « mariage pour tous », pourra présider le Bilderberg ou spéculer sur les terres agricoles, comme si l’oppression des pauvres et le refus du juste salaire de l’ouvrier ne criaient plus vengeance devant la face de Dieu. D’autres encore, opposés à l’avortement sur le plan personnel, pourront en soutenir publiquement l’extension voire la « sanctuarisation » sans que leur éventuelle excommunication ne soit sérieusement évoquée, ni que le soutien des catholiques ne leur soit officiellement refusé.
Ce triste constat de l’incohérence de beaucoup de catholiques en politique nous ramène, au-delà des défaillances individuelles, à la perversité de notre démocratie que l’on a pu qualifier de « concurrence des démagogies » (Marcel Gauchet). Bien des élus, républicains convaincus, déplorent de plus en plus ouvertement l’impossibilité de défendre un programme fidèle à leurs convictions profondes. Tôt ou tard, il leur faut choisir entre ces dernières et la victoire électorale. De même, beaucoup d’électeurs optent pour le « vote utile » ou « le moindre mal », quitte à renier en pratique leur foi, avec ces mêmes bonnes intentions qui font le pavement de l’Enfer.

 « Il en est, et en grand nombre, Nous ne l’ignorons pas, qui, poussés par l’amour de la paix, c’est-à-dire de la tranquillité de l’ordre, s’associent et se groupent pour former ce qu’ils appellent le parti de l’ordre. Hélas ! vaines espérances, peines perdues ! De partis d’ordre capables de rétablir la tranquillité au milieu de la perturbation des choses, il n’y en a qu’un : le parti de Dieu. C’est donc celui-là qu’il nous faut promouvoir ; c’est à lui qu’il nous faut amener le plus d’adhérents possible, pour peu que nous ayons à coeur la sécurité publique. (…) Toutefois, pour que le résultat réponde à Nos voeux, il faut, par tous les moyens et au prix de tous les efforts, déraciner entièrement cette monstrueuse et détestable iniquité propre au temps où nous vivons et par laquelle l’homme se substitue à Dieu ; rétablir dans leur ancienne dignité les lois très saintes et les conseils de l’Evangile ; proclamer hautement les vérités enseignées par l’Eglise sur la sainteté du mariage, sur l’éducation de l’enfance, sur la possession et l’usage des biens temporels, sur les devoirs de ceux qui administrent la chose publique ; rétablir enfin le juste équilibre entre les diverses classes de la société selon les lois et les institutions chrétiennes ».
(Saint Pie X, Encyclique E Supremi, 4 octobre 1903)

L’abbé

Gabriel García Moreno

Homme d’État catholique. Il consacra l’Equateur au Sacré-Cœur en 1873 

 

 

Terre et Famille

en Brionnais

Samedi  18 mars 2017 à 20h30

salle communale de Briant ( Saône et Loire)

 Jacques Trémolet de Villers 

« Sainte Jeanne d’Arc, le procès de Rouen. »

Maître Jacques Trémolet de Villers a plaidé de nombreuses affaires civiles et pénales à caractère politique, idéologique et médiatique. Écrivain, il a publié une biographie du célèbre avocat du XIXe siècle Pierre-Antoine Berryer, Aux marches du palais, de même que Heureux qui comme Ulysse, commentaire de son anthologie de la poésie française Vingt-quatre poèmes que nous devrions savoir par coeur pour les dire à nos enfants

Pour son chef d’oeuvre, « Jeanne d’arc, le procès de Rouen » , il a reçu le prix Renaissance, le 1er février 2017.


Après la conférence, Terre et Famille vous invite à prolonger la discussion autour d’un buffet.


Bistrot libertés : « l’exploitation animale »

 

Stéphanie Bignon défend la chasse à courre et nos terroirs… à partir de la 55 ème minute.

 

 

« Vous n’avez ni part, ni droit, ni souvenir dans Jérusalem »

Cf. chronique précédente « Venez, rebâtissons les murs de Jérusalem ! » http://terre-et-famille.fr/venez-rebatissons-les-murs-de-jerusalem-nehemie-ii-17/

Bien que voulu par Dieu, le relèvement de Jérusalem après l’exil ne se fit pas sans obstacle : c’est ainsi que les justes gagnent en mérites et les impies en charbons ardents. En l’occurrence, Zorobabel souffrit des intrigues des Samaritains qui obtinrent du roi perse la suspension de la reconstruction du Temple (Esdras, IV, 23-24). Mais les prophètes exhortèrent bientôt les Juifs à braver l’interdit royal et le travail reprit sans que le gouverneur ne puisse s’opposer à son achèvement (Esdras, V, 5 – VI, 13). De même, Esdras eut à lutter âprement pour purifier les moeurs de Juda contaminées par celles de Babylone. Quant à Néhémie, appelé à rebâtir les remparts de la cité, il essuya d’abord les railleries des étrangers et de leurs alliés parmi les élites juives. Mais au fur et à mesure que l’entreprise avançait, les moqueries se changèrent en menaces et conspirations armées. Sans faillir, Néhémie, rappela aux ennemis de sa patrie le droit de son peuple sur cette terre : « C’est le Dieu du ciel lui-même qui nous assiste, et nous sommes ses serviteurs. Nous nous lèverons et nous bâtirons : mais vous, vous n’avez ni part, ni droit, ni souvenir dans Jérusalem » (Néhémie, II, 19-20). Et à ses troupes tentées de céder aux intimidations étrangères : « N’ayez pas peur d’eux ! Souvenez-vous du Seigneur, le Grand, le Terrible, et combattez pour vos frères, vos fils, vos filles, vos femmes et vos maisons » (Néhémie, IV, 14). Récompensant la fermeté des Juifs, Dieu ruina en effet les desseins des impies qui durent reconnaître dans la résurrection de Jérusalem l’oeuvre du Tout-Puissant (Néhémie, VI, 16).

L’élévation des défenses extérieures de la cité manifestait et soutenait le redressement moral de Juda. Reprenant confiance en ses initiatives, chaque corps et famille prit en charge l’édification d’une portion des remparts, des portes et des quartiers d’habitation ainsi que leur garde armée (Néhémie, III, 1-31). Le clergé convaincu de corruption et de collusion avec l’ennemi fut démis (Néhémie, XIII, 4-9, 28). Le respect du sabbat fut restauré au grand dam des païens qui venaient faire du commerce en ce jour sacré (Néhémie, XIII, 15-21). De même, l’usure fut abolie et les dettes asservissant le coreligionnaire remises. Enfin, les mariages contractés avec des nations étrangères furent annulés, moins par souci d’homogénéité ethnique que de pureté de la foi et de la langue (Néhémie, XIII, 23-27). C’est ainsi un peuple à nouveau maître de lui-même et de son destin qui renoua solennellement son alliance avec Dieu, initiateur et finalité de son relèvement (Néhémie, IX, 38).

A l’opposé de la restauration politique et sociale que nous recommande cet épisode de l’Ecriture Sainte, le personnel politique et associatif de France s’échine aujourd’hui plus que jamais, de façon consciente et assumée, à concevoir son action sans Dieu, à faire abstraction de son existence, de ses préceptes, de son intervention dans l’histoire. Mais qu’espérer dès lors d’une action politique méconnaissant Celui sans qui on ne peut rien faire (Jean, XV, 5), pas même se maintenir dans l’existence ? Que craindre d’autre que la dissolution de la société puisque rassembler sans le Christ, c’est disperser (Matthieu, XII, 30) ?

La France s’est épanouie, depuis son baptême, dans la certitude féconde que la foi catholique est vraie. C’est pourquoi elle ne peut rester elle-même sans la prééminence, cultuelle et culturelle, du catholicisme, au nom de la vérité doctrinale et morale dont l’Eglise est dépositaire. A ce titre, la liberté religieuse s’applique essentiellement à l’Eglise catholique qui tient du Christ le droit de gouverner, enseigner et sanctifier dans le monde entier (« Toute puissance m’a été donnée au ciel et sur la terre. Allez donc enseigner toutes les nations au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit », Matthieu, XXVIII, 18-19). En terre chrétienne plus particulièrement, toute religion, toute philosophie, toute institution s’opposant à la vraie foi n’a « ni part, ni droit, ni souvenir » à revendiquer comme l’erreur n’a aucun droit contre la vérité. Pourvu qu’il reconnaisse le catholicisme comme la seule bonne religion, l’Etat peut tolérer, selon les circonstances, le tranquille exercice des autres religions établies sur son territoire. En revanche, s’il permet toutes les religions parce qu’à ses yeux elles sont toutes bonnes ou parce qu’il estime la puissance publique incompétente à prendre parti dans cette matière, l’Etat est impie et athée, entrainant par une neutralité criminelle, les individus dans l’indifférence religieuse la plus absolue (Cf. Cardinal Pie, De l’intolérance doctrinale). Que penserait Néhémie qui fit respecter le Jour du Seigneur et abolir l’usure, devant une France laissant des lobbies financiers apatrides porter atteinte à son dimanche et ses fêtes, à ses saints du calendrier, à ses églises et ses signes religieux ostensibles, à la pureté de ses femmes et de ses enfants ? Qu’en pensent Clovis, saint Louis, sainte Jeanne d’Arc et tous les saints qui ont foulé et aimé cette terre de France avant nous ? Et au-dessus de tous, qu’en pense le seul vrai Dieu, Un et Trine ? Je doute qu’Il conçoive les rapports du spirituel et du temporel dans le même sens que bien trop de catholiques voulant oublier que la « laïcité » n’a été conçue en France que pour en déraciner le catholicisme. Nous ne gagnerons rien à vouloir utiliser les armes de l’adversaire. Cessons donc enfin d’être politiques, redevenons prophétiques ! Souvenons-nous du Seigneur, le Grand, le Terrible, renouons avec Lui l’Alliance qu’Il offrit à nos aïeux et combattons pour nos frères, nos fils, nos filles, nos femmes et nos maisons !

Sachez-le, peuples, et soyez effrayés !
Prêtez l’oreille, toutes les régions lointaines de la terre !
Ceignez [vos armes contre nous] et soyez effrayés !
Concevez un dessein [contre nous] : il échouera,
Dites une parole [contre nous] : elle ne se réalisera pas ;
Parce que Dieu est avec nous. (Isaïe, VIII, 9-10)

 

L’abbé

GRANDE JOURNÉE D’HOMMAGE AU ROI LOUIS XVI

Comité Louis XVI

comitelouisxvi@gmail.fr

Dijon

Chère Madame, Cher Monsieur,

Le comité Louis XVI a le plaisir de vous convier, le 21 janvier 2017 à Dijon, à une journée entièrement dédiée à la figure humaine et politique de Louis XVI.

Cette journée, organisée sous la présidence du prince Alexandre de Kisselev, sera un moment de rencontre entre amis de la cause royale, de nos traditions et de la résistance face au déclin spirituel et politique de notre pays. Cette rencontre autour de la figure du souverain martyr nous permettra d’accomplir l’union de la prière, du souvenir historique et du message d’espoir.

Nous sommes sûrs que les liens d’amitié et de respect inhérents à nos perspectives communes permettront, le temps de cette journée, de nous rappeler la signification profonde du sacrifice de la famille royale et du prix que le France ne cesse de payer.

Si le 21 janvier 1793 fut le péché originel de la République, nous ne doutons pas que le 21 janvier 2017 sera pour nous l’occasion de ranimer la concorde d’une France, qui malgré le sang versé, continue à vivifier nos cœurs.

Le comité Louis XVI aura le plaisir de compter sur la présence du Cercle Bossuet de Dijon, de la Fédération Royaliste de Bourgogne ainsi que de l’association Terre et Famille. Mais c’est avant tout votre soutien et votre présence qui feront de cette journée un moment fort de recueillement autour des valeurs de la France qui sont, ô combien, supérieures à celles de la république.

Pour que l’espoir demeure et que notre succès soit sans appel, n’hésitez pas à vous joindre à nous tout au long de cette journée qui commencera par un service de Requiem en rite extraordinaire avec chœur et catafalque suivi par un déjeuner (sur réservation). Enfin, le prince Alexandre de Kisselev nous entretiendra de la personnalité et de l’actualité de Louis XVI lors d’une conférence que nous terminerons par un apéritif convivial.

Vous trouverez, ci-joint, le programme complet de cette journée ainsi que les contacts du comité Louis XVI. Nous espérons vous compter parmi nous. Seule votre présence et celle de vos amis contribuera au succès de cette journée.

Enfin, nous vous adressons, chère Madame, cher Monsieur, nos meilleurs vœux pour l’année 2017.

Royales amitiés,

Le Comité Louis XVI

GRANDE JOURNÉE D’HOMMAGE AU ROI LOUIS XVI

21 JANVIER 2017

PROGRAMME :

11 H 00 : Service de Requiem au rite extraordinaire avec chœur et catafalque ; lecture du testament de Louis XVI par le Prof. Jean Foyard, président de la Fédération Royaliste de Bourgogne.

Lieu : Basilique Saint-Bernard

24 rue Saint-Bernard

21121 Fontaine-Lès-Dijon

Accès : covoiturage ou bus Divia n° B13 arrêt Mare Fontaine (départ square Darcy, 10H20)

13 H 00 : Déjeuner à l’hôtel Kyriad Gare, sur réservation.

Menu :

Feuilleté de pétoncles à l’effilochée de poireaux, crème safranée

Pavé de bœuf sauce forestière, fagots de haricots verts et tomates cerises poilées

Galette des Rois

Eau minérale plate et gazeuse, vin et café inclus

Tarif : 32 € pour les plus de 25 ans, 25 € pour les moins de 25 ans

Lieu : Hôtel Kyriad Gare

7-9 rue Docteur Albert Remy

21000 Dijon

17 H 00 : Conférence, à l’hôtel Kyriad Gare, par le prince Alexandre de Kisselev sur «  la personnalité et la modernité de Louis XVI », suivie d’un vin d’honneur.

Prix de l’entrée : participation libre

INFORMATIONS :

Nous vous prions d’annoncer le nombre de convives au déjeuner avant le 15 janvier 2017 ; toute rétractation après cette date entraînera le paiement du déjeuner.

Nous vous invitons chaleureusement à nous signaler par avance votre présence au cours de cette journée afin d’en faciliter l’organisation.

Pour toutes informations complémentaires, pour profiter du covoiturage depuis le centre-ville ou la gare, ou pour vous annoncer au déjeuner vous pouvez nous joindre :

Par courriel : comitelouisxvi@gmail.com