Les hommes du Gouvernement feront-ils repentance pour le génocide invisible et l’esclavage indétectable? Je suis l’Antigone de tous les enfants assassinés, ceux sous embargo et sous les bombes, morts de soif et de faim au Yémen ou ailleurs, ceux dont les petits corps déchiquetés servent de combustible pour chauffer les hôpitaux du Royaume Uni ou d’ailleurs, les sans visage qu’on jette dans les fosses communes, ceux qu’on achète et qu’on vend sur catalogue, ceux qu’on stocke congelés dans des banques pour humains… ceux qu’on recycle en vaccins ou en crème de beauté… ceux qu’on sacrifie pour en extraire des potions que les sorcières et les sorciers boivent pour paraître plus vifs… mais ils sont morts! Je suis l’Antigone des minuscules qu’on oublie à la Messe au Mémento des morts, que les Créons ont renoncé à nommer pour plaire à la majorité, à la modernité, laissez moi rire! La modernité c’est le conseil des drôles de sages, c’est l’éternel retour de Sparte et de sa barbarie! Je suis l’Antigone des infimes qu’on aiguille pour la mort, ceux qu’on trie, qu’on « augmente », qu’on transplante, qu’on congèle, qu’on dissèque, qu’on jette à la poubelle. Sans larmes et sans mémoire.
Je demande à tous les prêtres du monde de les citer au Mémento des morts, comme saint Jean-Paul II l’avait demandé solennellement … Pour que le visage de ces petits et de leur pauvre maman ne s’efface pas et ne soit pas défiguré ad vitam aeternam.
A travers ce germe de visage, le Visage de Dieu S’offre… à découvert et Nu,
Hostie diaphane ensanglantée de tout ce sang des innocents,
Versé
Promesse profanée
Mais au Lieu Saint de notre Conception immaculée
Marie veille
Pour que ne meurt
l’Homme,
L’Homme et sa liberté irréductible qui fut d’avoir été créé pour la Vie Même de l’Eternel Amour
J’ai une pensée émue pour ce garçon croisé au café de ma rue et qui recoud dans le silence glacé des chambres froides de l’hôpital Trousseau, le corps de ces petits…les recoud et les habille de petites robes blanches avant que les croques-mitaines ne les emportent pour les abandonner à la gueule des charniers…
L’IVG médicamenteuse est passée de 7 à 9 semaines dans l’indifférence générale, efficace ce Covid…
Bande annonce en français du film Garabandal du 18 juin
Le film qui approfondit les apparitions de Garabandal sort sur you tube le 18 juin pour une projection à 19 h00 ! Et ce, gratuitement.
Cette bande annonce comme le film sera sous titré en français.
Ne le ratez pas !
http://www.lavoieduciel-garabandal.fr/archives/2020/06/04/38346605.html#utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=lavoieduciel
Jeudi 4 juin : Jeudi dans l’octave de la Pentecôte
Envoyez votre Esprit et ils seront créés, et vous renouvellerez la face de la terre ! Tiré de la liturgie du jour.
Tous les symboles de la Pentecôte sont très clairs. Ils indiquent tous que le Saint-Esprit n’est pas là pour se tourner les pouces, mais pour gagner tout l’univers. En un mot que les paresseux et les tièdes s’écartent, vous allez voir ce dont est capable la troisième personne de la sainte Trinité ! Vous voyez les flammes ? C’est que ça va chauffer ! Vous entendez le coup de vent ? ça va déménager ! Vous écoutez les paroles des apôtres qui semblent comme ivres de la présence du Saint-Esprit ? Tous les peuples les comprendront ! Et bientôt les apôtres vont se répandre dans le monde entier, et à leur parole, les peuples vont se convertir.
L’histoire se reproduira souvent… Combien de fois on verra des régions chrétiennes et ferventes envoyer des missionnaires pour évangéliser des contrées encore païennes, au prix de grands efforts et d’une générosité incroyable… Ce sont les plus belles pages de l’histoire de l’Eglise ! Dans son enfance, Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus se passionnait pour les récits des missionnaires de son temps qu’on pouvait lire dans les annales de la propagation de la foi. Et elle épargnait quelques sous pour pouvoir donner à l’œuvre des missions ! Cet enfant comprenait ce que voulait l’Esprit-Saint, la conversion du monde ! Avons nous aussi cet esprit missionnaire ? Alors sans doute l’Esprit-Saint nous illumine…
Pratique : Faire dire une Messe pour que la foi se répande.
Abbé Henri Forestier
Lundi 1er juin : Lundi de la Pentecôte
Celui qui pratique la vérité vient à la lumière… Tiré de l’Evangile du jour.
Comment notre monde a-t-il pu se faire ainsi ? Quand on saisit les milliers de facteurs de température, de lumière, d’eau, d’équilibre pour que la vie puisse exister ! Comment vient l’âme dans l’enfant qui est conçu dans le sein de sa mère ? Il n’est ni son père ni sa mère, mais apparaîtra bientôt comme un être nouveau, plein d’espérance et de liberté ! Comment se fait-il que nous ayons le sens du bien et du mal ? Comment se fait-il que nous attendions le bonheur infini ?
A toutes ses question, celui qui a la foi répond facilement que Dieu est l’explication de tout cela. Mais pour beaucoup, la réponse ne paraît pas évidente… Ils se posent évidement ces mêmes questions, mais restent dans le flou quand à la réponse. Confortés qu’ils sont par le fait que tant de leurs contemporains répondent avec autant de doutes, voire avec des réponses faussées, inspirées d’un athéisme militant.
La première action du Saint-Esprit pour les hommes est donc d’éclairer leur intelligence et les introduire dans la vérité ! Avons nous jamais pensé à remercier Dieu pour toute cette lumière ? Avons nous ce culte de la vérité, dans nos paroles, nos attitudes, et nos jugements ? Nous comportons nous comme des fils de cet esprit de vérité ?
Pratique : Récitons le belle prière du Cardinal Verdier : O Esprit Saint, amour du Père et du Fils ! Inspirez-moi toujours ce que je dois penser, ce que je dois dire, comment je dois le dire, ce que dois écrire, comment je dois agir, ce que je dois faire pour procurer votre gloire, le bien des âmes et ma propre sanctification. O Jésus toute ma confiance est en vous.
Abbé Henri Forestier
Vive Sainte Jeanne d’Arc, vive la France, CHANTONS !
L’OMS, le sexe et les enfants…par Marion Sigaut
Pour votre sécurité !
Peuples bâillonnés, réveillez vous !
La Tradition par Véronique Lévy
Ecce Ancilla Domini… La Tradition relie, la Tradition se souvient, la Tradition est mémoire vive d’amour éprise, la Tradition est pulpe de la Foi, elle en est la chair et cette chair est une oeuvre, une oeuvre d’unité.
Les « modernes »jouent aux jeunes premiers et ils la moquent, ils la cachent, honteux d’avoir une cousine aux jupes grises et rapiécées comme celles de la cousine Bette… Mais la Tradition n’est pas une vieille fille honteuse et stérile, elle ne rase pas les murs, elle est vierge mais féconde comme la Mère enfant de Nazareth… Et elle est nue. Elle est la perle de l’église… elle est l’Eglise née du Coeur transpercé de l’Amour s’écoulant du faite de l’Arbre de la Vie… recueillie dans le oui infini de Marie s’épanchant dans le silence de Jean… le Voile s’est déchiré sur le Ciel Ouvert où montent et descendent les Anges… La Tradition est une perle mais c’est un Oui d’enfant, le Oui émerveillé, le Oui de l’éblouissement des naissances sans retour… le Oui d’innocence bondissante d’une attente cognant aux portes du Ciel… La Tradition est cette petite clef si simple qu’on ne la voie pas… Il n’y a que les pharisiens pour l’ignorer, il n’y a que les docteurs de la loi consensuels pour la mépriser, il n’y a que les grands prêtres de la mort pour la moquer.
La Tradition n’est pas cette cousine Bette au regard terne… Elle est la source silencieuse s’égrenant, cachée, au coeur dévasté de l’Eglise en déroute… Elle n’est pas le coffre-fort de dogmes poussiéreux et d’une liturgie de musée, elle n’est pas la vitrine des curiosités antiques… Elle est la sève secrète d’un Coeur Donné, d’Un Corps Donné, d’Un Sang versé au Sacrifice de tous les sacrifices… pour que cessent tous les sacrifices et que ne demeure que l’amour en l’AMOUR.
Cendrillon espère le Roi et la parure de Sa sandale de vair… La Belle au Bois dort au secret de Son Coeur… La Tradition guette sur les remparts la poussière qui poudroit et l’herbe qui verdoit… elle chante : »Anne, ma soeur Anne , ne vois-tu rien venir? » J’attends le Seigneur des Seigneurs qui ouvrira le temps, qui mettra fin au monde pour le transfigurer dans Son Royaume où les petits seront les princes et les proscrits les rois… J’attends le Jour de Son Retour.
Et je suis là, prisonnière de ces modernes qui ont pour dieu leur ventre, un horizon de satisfaits, un bonheur triste de repus.
Ils croient apprivoiser la Vie.
Ils spéculent les lois d’une relativité en éventail pour repousser la Vérité toute crue du Verbe de l’éternité. Ici et maintenant Il S’éveille… Suis-Le !
Moi, murmure la Tradition, je suis l’enfant qui plante sa tente au Ciel de Sa Béatitude, dans les tranchées, dans les épidémies, dans les blessures, je vois Sa Face Qui me sourit… Je hais la douleur où Il n’est pas, et la joie n’est pas la joie s’Il n’y rit pas… Douleur d’amour n’est pas douleur mais naissance vive au fil de Sa Parole… Traverser toutes les mers et je les passe au fil de Son Amour.
« Qui regarde vers Lui resplendira sans ombre ni trouble au visage »… là est ma beauté, elle est la Sienne…. elle est l’extase, cette pure perte en Son armée désarmée des armées de Sa Lumière, traîne enveloppant les grappes de chérubins incandescents prêts pour le Combat au Glaive de Sa Justice. Epée de feu. Epée de la haine. Mais Haïr c’est trancher les liens me retenant captive hors de Son Jour. Je ne suis pas ancienne mais éternelle, née du Verbe dans l’infini Retour au Baiser Trinitaire.
Je suis la Tradition, petite épouse fidèle dont la foi est battement de Son Coeur.
Je relie la nuit au jour et le jour à la nuit, le Ciel aux abîmes… j’ouvre tous les horizons à Son éternité… Qu’elle traverse le pont du temps perdu et nous fouette de Sa lumière. Béatitude! La Croix est la Voie, écartelant l’utile en pure perte, en pur Don.
Pardon.
Pardon.
Et Par delà tout don.
Ecce Ancilla Domini