La communion sur la main par le Père Patrick de Vergeron

 

Véronique Lévy
Sur Facebook le 3 mai 2020

La traduction française : « PRENEZ et mangez en tous » est hélas loin du texte original, que la Sainte Liturgie donne par le mot « ACCIPITE et manducate », le Christ s’adresse aux Apôtres-Ministres et non aux disciples… et se traduit par « RECEVEZ »

Père Patrick de Vergeron, le 2 octobre 2011 :

C’est tombé, vous le savez, le 8 mars 2005. Mais ce n’est pas venu comme ça, parachuté, d’un seul coup : Shikqoutsim Meshomem ! Il y a eu quand-même une préparation, il y a eu des choses qui ont préparé ça. Trois ans et demi avant, 1290 jours avant, c’était les tours jumelles de New-York. Trois ans et demi après, c’était le cyclotron : ils voulaient consacrer toute la matière primordiale et l’antimatière à Satan. A chaque fois trois ans et demi, vous descendez, vous descendez…
D’où vient cette espèce d’escalade extraordinaire d’agressions d’une cruauté incroyable contre Dieu en Personne ? Ce n’est pas contre l’humanité, c’est contre Dieu en Personne. D’où ça vient ? Vous savez sans doute, et je vous dis ça en espérant que vous ne le répèterez pas [rires].
Shiqouts, ça veut dire abomination. Meshomem, ça veut dire de toutes les désolations. Meshom, c’est la désolation métaphysique, en hébreu. Shikouts, c’est quand on abomine Dieu, quand on veut vraiment éventrer Dieu, par l’indifférence, parce que c’est ce que je fais qui est bien. (…) Jésus, donc c’est bien, ce que j’ai fait. Shiqoutsim Meshomem, c’est le comble. Shiqoutsim c’est un pluriel, Meshomem c’est un pluriel. Dans le prophète Daniel – c’est l’ange Gabriel qui lui dit Shiqoutsim Meshomem – c’est le comble de toutes les abominations avec le comble de toutes les conséquences de dévastations métaphysiques jusqu’à la fin du monde. Mais tu ne peux pas arriver à un Shiqoutsim Meshomem dans l’histoire du temps si tu n’as pas fait avant beaucoup de Shiqouts Meshom, au singulier.
Alors, quelle est la première fois, dans l’histoire de l’Eglise, qu’il y a eu un Shiqouts Meshom ?
– La communion sur la main.
– C’est ce que disait mère Teresa. Quelle est l’unique source de tout le mal qu’il y a dans le monde et de tout le mal qu’il y aura dans le monde jusqu’à la fin des temps ? Trois fois elle a répondu :
« C’est que les chrétiens communient sur la main. »
Pourquoi un geste aussi amoureux, simple, peut être une abomination de la désolation ? Un jour, un évêque que j’aime beaucoup m’a dit : « Mais mère Teresa, elle est tombée sur la tête quand elle a dit ça. Là elle n’était pas inspirée. » Et bienc’est la première fois en effet que dans l’Eglise catholique, l’Eglise des A pôtres, il y a eu un Shiqouts Meshom.
Alors je vous explique un petit peu, si vous voulez. Vous verrez les documents de la Sainte Eglise.
C’est le Christ, le Messie qui a dit à Moïse : « Quand il s’agira du Pain descendu du Ciel, du Pain du Messie, vous le prendrez à la fin, après la quatrième coupe de la cène, vous le prendrez et vous le partagerez, vous le tremperez et vous donnerez la bouchée. » C’est ce que le Messie a expliqué à
Moïse pour la cène.
Ça s’appelle, je crois, le Séder. Lors de la cène juive, il y a une première coupe, une deuxième coupe, on chante le Hallel. On est debout à un moment et on prend dans la main le pain azyme et un morceau d’agneau. Donc c’est un pain-agneau, mais ça c’est la deuxième manducation, on est debout et on communie au pain-agneau qui représente le Messie. Là, c’est dans la main.
Mais il y a dans le Livre des Nombres et le Deutéronome, le pain qui est réservé au Messie après la dernière coupe de bénédiction. Si le Messie n’est pas encore revenu, que le Père de famille prenne le pain du Messie et donne la bouchée.
Jésus avec ses disciples donne la bouchée à la fin. Jésus avec ses disciples, qu’est-ce qu’Il fait ? Il fait comme ça. Il prend le pain et l’agneau, Il communie au pain agneau, la coupe de bénédiction, la coupe du Messie, enfin les quatre coupe, la coupe du Hallel, et puis arrivé à la fin, Il se lève de table, Il met un linge à sa ceinture, Il se met à genoux, Il lave les pieds, parce que les pieds, c’est là où les anges vous portent sur leurs mains pour que vous ne puissiez pas heurter les pierres et que vous puissiez entrer directement dans l’Union hypostatique du Verbe de Dieu. Après Il se relève et à la fin Il donne la bouchée. Après Il se relève et à la fin Il donne la bouchée. Judas était encore là et Il lui donne la bouchée, après lui avoir lavé les pieds. Attends, c’est normal, Jésus respecte tous les préceptes de la Torah.
Donc de prendre la bouchée est une indication qui date d’Adonaï Elohim et qui devait être intangible. Qui a été conservée par les Apôtres, tout le temps. Mais il y a eu des persécutions. Ce n’était pas drôle quelquefois les persécutions ! Tu n’avais pas le droit d’expliquer le catéchisme infaillible de l’Eglise, si bien qu’il y a eu des messes, dans certaines régions, où l’hostie c’était du pain ou du fromage… Il y a eu, effectivement, des moments où on faisait n’importe quoi. Et c’est sur ces textes que quelques uns s’appuient : « Mais saint Cyrille de Jérusalem, et puis le Pectorius d’Autun, ils disent quand même : « Prends dans tes mains… » donc vous voyez bien, c’est une tradition ancestrale. »
[A un participant] Vous avez mis sur votre papier que c’est à partir du Xe siècle. Pas du tout : jamais, pas à partir du Xe siècle.
Et le texte qu’on attribue à saint Cyrille de Jérusalem, c’est malhonnête parce qu’en fait c’est un texte du patriarche Jean de Jérusalem qui s’était séparé du Saint-Père. Et pour bien marquer qu’on se sépare du Saint-Père, on abandonne la bouchée.
Pourquoi ? Parce que c’est le moment le plus fort de toute l’histoire du monde quand tu communies au Verbe de Dieu. Tu ne partages pas le pain-agneau. Le partage du pain-agneau, dans l’Ecriture, dans la Sainte Bible, cette communion au pain-agneau est totalement autre chose que la bouchée du Pain descendu du Ciel. Je me nourris de l’Union hypostatique déchirée de Jésus, et comme la Pentecôte, le Verbe de Dieu brûle ma langue.
Et à chaque fois que l’Eglise est intervenue, c’est toujours pour revenir, bien-sûr.
Alors on dit : « Le Concile Vatican II a dit : vous pouvez le faire. » Ça, ce n’est pas vrai. C’est la première fois dans l’histoire de l’Eglise qu’un Concile a engagé son infaillibilité. L’infaillibilité du Concile, l’infaillibilité de Pierre a été engagée. Alors qu’avant on reprenait la discipline, mais ce n’était pas infaillible, ce n’était pas une disposition dogmatique infaillible, ça ne relevait pas de l’infaillibilité. Le Concile Vatican II a fait que la communion sur la bouche est devenue quelque chose d’infaillible, jusqu’à la fin du monde. Ça veut dire que les chrétiens qui ne le feront pas sortiront de l’Eglise catholique.
Donc le Concile Vatican II a engagé l’infaillibilité du Seigneur sur ce point. Et Monseigneur Alfrink, Monseigneur (…), Monseigneur (…), des évêques qui avaient fait leur théologie avec des pasteurs protestants ont dit : « C’est de la connerie, alors on le fait quand-même. » Monseigneur (…) surtout. Monseigneur (…) était un des grands initiés de la Loge de Freiburg, en Allemagne. C’est lui qui était le numéro 1 de l’Eglise catholique, donc c’est lui qui donnait les permissions.
Dès que le Pape Paul VI le voyait, il arrachait ça et il envoyait un autre papier en disant : « Non, c’est strictement interdit ! » Quatre fois il l’a fait. Il a fallu après le Concile… Mais il fallait faire ce Shiqouts Meshom, vous comprenez ? Il y avait des indisciplines, mais dans l’ensemble, on ne communiait pas beaucoup sur la main, en 1970. Le Pape Paul VI a convoqué tous les évêques du monde pour recommencer, et uniquement là-dessus : « L’Eglise a engagé son infaillibilité, tout de même ! » Il a sorti Memoriale Domini, les cinq raisons pour lesquelles on ne peut pas communier à la main.
Alors à la limite, jusque là, il n’y a pas de Shiqouts Meshom, ce sont des frondeurs.
Mais qu’est-ce qui s’est passé ? Un shiqouts Meshom est intervenu d’un seul coup. C’est que le Pape Paul VI a fait le 25 juillet 1968 une Encyclique qui s’appelle Humanæ Vitæ, sur le mariage et la contraception. Et en faisant cette Encyclique, il a… C’était tout nouveau. Les évêques de France, la Conférence épiscopale du Nouvel Israël – puisque la France est la Fille aînée de l’Eglise, c’est le Nouvel Israël, c’est la Jérusalem spirituelle de Marie au milieu de toutes les multitudes – pour signifier au Pape qu’on se détachait, qu’on se divisait vis-à-vis de lui, puisqu’il avait fait Humanae Vitæ, aussitôt après que le pape a dit, une deuxième fois : « On ne peut pas faire la communion sur la main », la Conférence épiscopale française a décidé… de faire la communion sur la main.
Et là ça devient grave. Pourquoi ça devient grave ? Quand on a le sens de Dieu, on va comprendre pourquoi c’est grave. C’est parce qu’un sacrement est un signe sensible et efficace de Présence réelle. Et le signe de la communion, c’est le signe de l’unité de toute l’Eglise. Donc quand tu communies, tu reçois la source de l’unité du Corps mystique de l’Eglise toute entière, et du coup le Seigneur peut bénir toute l’humanité, rayonner. La Providence de Dieu circule par torrents, et la Paternité de Dieu aussi.
Et c’est l’instant de la communion, et c’est le lieu de la communion qui a été décidé par la pointe de l’Eglise catholique puisque c’est le nouvel Israël de Dieu sur la terre. Ils ont décidé : « Nous allons dire qu’on prend la communion comme ça. »
Et donc on signifie qu’on rentre dans la division de l’Eglise. Et donc on met une brèche dans l’instant précis et dans le lieu précis de la communion qui est la source de toutes les lumières, de toutes les providences, de toutes les grâces, de toutes les bénédictions, de tous les obstacles à l’arrogance du mal sur la terre. On a brisé dans l’instant et dans le lieu réservé à Dieu seul la Présence réelle. Dès qu’on s’introduit dans le lieu et l’instant qui appartiennent à Dieu seul pour faire une unité éternelle et temporelle, on rentre dans un Shiqouts Meshom. Ce n’est pas le Shiqoutsim Meshomem.
Ce n’est pas parce qu’on communie sur la main que c’est grave, c’est parce que c’est un signe de rupture du Corps mystique de l’Eglise toute entière. Donc on signifie – un sacrement est un signe qui réalise ce qu’il signifie – donc on réalise, en faisant cela, ce que l’on signifie, à savoir qu’on brise l’unité eucharistique du Corps mystique de l’Eglise toute entière et du Cœur eucharistique de Jésus dans sa source.
A partir de ce moment-là, tous les champs morphogénétiques surnaturels eucharistiques du monde ont été brisés. Et de là vous comptez à chaque fois trois ans et demi, trois ans et demi, trois ans et,demi, trois ans et demi, et vous arrivez finalement assez vite à la naissance de l’Anti-Christ, puis après vous arrivez à New-York, puis après vous arrivez au clonage, puis après vous arrivez au cyclotron.
– En passant par l’avortement, par exemple, en France ?
– Mère Teresa n’a pas dit que le mal le plus grand dans le monde, c’est l’avortement. Elle n’a pas dit ça. Elle a dit que la source de tout le mal qu’il y a dans le monde, c’est la communion dans la main.
C’est vrai, l’Angleterre a voté ses premières lois trois mois après, et la France deux ans après. Elle dit que c’était impossible que les hommes de ce monde votent une loi sur l’avortement s’il n’y avait pas eu le Shiqouts Meshom. La permission de Dieu n’aurait pas été donnée sur l’avortement. Dieu n’aurait pas donné permission à Satan de détruire quatre-vingts milliards d’êtres humains à partir de ce jour-là. Quatre-vingts milliards d’avortements depuis le Shiqouts Meshom de la communion sur la main !
Donc c’est la première fois dans l’histoire de l’Eglise. Il n’y a jamais eu dans l’histoire de l’Eglise, en deux mille ans, il n’y a jamais eu de Shiqouts Meshom. Ce jour-là, il y a eu Shiqouts Meshom.
Alors du coup, après, c’est parti.
Car l’Eucharistie, c’est vraiment la source du Corps mystique de Jésus.

Communiqué de presse de Mgr Carlo Maria Viganò, le 14 mai 2020

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Le 8 mai dernier, trois cardinaux et neuf évêques, ainsi que des médecins, des journalistes, des avocats, des intellectuels et des professionnels du monde entier ont lancé un Appel visant à sensibiliser le public, les dirigeants, la communauté scientifique et les médias aux graves dangers qui pèsent sur les libertés individuelles, et qui ont surgi à l’occasion de la propagation du COVID-19.

Ces dangers ont été davantage perçus dans certains pays, moins dans d’autres ; mais il est partout nécessaire d’attirer l’attention des fidèles catholiques et des hommes de bonne volonté sur ce qui se passe dans cette période si difficile : ne considérer que les aspects sanitaires de l’épidémie, sans en voir les implications sociales, économiques, politiques et religieuses, peut conduire le monde vers un avenir dans lequel l’autorité des États et celle de l’Église seront affaiblies ou absorbées par des pouvoirs autoréférentiels, et qui ont des objectifs peu clairs pour le moins.

Le projet d’un Nouvel Ordre Mondial dans lequel les nations et les citoyens perdent toute leur identité propre et sont contrôlés par une élite pouvait sembler une idée absurde il y a quelques années encore. Aujourd’hui, cependant, il est revendiqué et fait même l’objet de propagande qui le présente comme un bien pour la société et les individus. Un tel projet, promu par des organisations supranationales, doit être démasqué, connu et dénoncé : tel devrait être le but de l’information, afin que chacun d’entre nous soit conscient de ce qui se passe et puisse s’exprimer clairement en tant que personne, en tant que croyant et en tant que membre de la communauté.

L’objectif de l’Appel est précisément celui-ci : briser le silence médiatique qui pèse sur notre aujourd’hui, notamment en ce qui concerne les libertés individuelles et les droits de la personne, menacés par des formes de censure et de contrôle ; exiger une égale dignité de la discussion dans la communauté scientifique, sans se laisser guider par des intérêts économiques ou idéologiques ; rappeler aux dirigeants leurs graves responsabilités pour le bien commun.

L’appel a sans aucun doute réussi à provoquer un certain débat. En Allemagne, de nombreux représentants de l’épiscopat se sont contentés d’en balayer globalement le contenu présenté comme « théories du complot », sans rien réfuter et confirmant même leur ralliement sans critique à la pensée dominante. Répondant à une interview de Die Tagespost, le cardinal Gerhard Müller (qui fait partie des signataires) a courageusement observé qu’aujourd’hui, on en vient à « appeler tous ceux qui pensent différemment, théoriciens du complot ». Il a également déclaré : « Ceux qui ne font aucune distinction entre les chances et les dangers liés à la mondialisation nient la réalité. Le pape François s’oppose lui aussi au fait que les États et les organisations internationales imposent l’avortement aux pauvres de manière néo-colonialiste en révoquant l’aide au développement s’ils le refusent. Au Pérou, au temps de Fujimori, j’ai moi-même parlé avec des femmes et des hommes qui avaient été stérilisés sans le savoir et qui avaient été trompés avec de l’argent et de fausses promesses de santé et de bonheur dans la vie. Cela serait-il une “théorie du complot” ? » De même on ne peut accuser de complotisme « la réflexion sur la vaccination de sept milliards de personnes, même si le médicament n’a pas encore été correctement testé, en limitant les droits fondamentaux de ceux qui n’acceptent pas le vaccin. Nul ne peut être contraint de croire que quelques philanthropes milliardaires ont les meilleurs programmes pour améliorer le monde, simplement parce qu’ils ont réussi à accumuler une énorme richesse privée ».

Mgr Athanasius Schneider a lui aussi adopté des positions similaires : « Il est étonnant de voir comment les représentants de l’establishment ecclésiastique, mais aussi politique et médiatique, ont unanimement cherché, par obéissance à la pensée unique dominante, à jeter le discrédit sur les préoccupations exprimées dans l’Appel, et à étouffer toute discussion à leur sujet, avec l’“argument massue” selon lequel il ne s’agit que d’une “théorie du complot”. Je me souviens des mêmes types de réactions et de discours sous la dictature soviétique, lorsque les dissidents et les critiques de l’idéologie et de la politique dominantes étaient accusés d’être complices de la “théorie du complot” diffusée par l’Occident capitaliste » (voir ici).

Il convient de souligner que l’Appel – au-delà des critiques évidentes de ceux qui veulent en déformer le sens uniquement pour éviter d’avoir à faire face aux nombreuses incongruités de ce qui se passe sous nos yeux – a obtenu le soutien d’importantes personnalités du monde laïque et d’éminents représentants du monde de la science et de l’information. Robert Francis Kennedy Jr. a également exprimé son soutien. En moins d’une semaine, l’appel a recueilli près de 40.000 signatures et s’étend maintenant à l’Europe de l’Est.

La perception d’une sorte de fracture – que l’Appel a le mérite d’avoir rendue visible – entre les fidèles et les dirigeants de la Hiérarchie ne fait aucun doute : cela est également confirmé par l’approche clairement mondialiste de la Journée de Prière « Pray for Humanity » organisée par le Haut Comité de la Fraternité Humaine des Emirats Arabes Unis pour invoquer la fin de la pandémie, à laquelle le Saint-Siège s’est malheureusement aussitôt rallié.

Cette vision, récemment ratifiée par le Document d’Abu Dhabi, est clairement inspirée par l’idéologie relativiste propre à la pensée maçonnique. En tant que tel, il n’a rien de catholique et il est pour le moins troublant que les dirigeants de l’Eglise acceptent d’agir en tant que « bras spirituel » du Nouvel Ordre Mondial, qui est ontologiquement anti-chrétien.

+Carlo Maria Viganò,

Archevêque, Nonce Apostolique

 

 

Sainte Jeanne d’Arc c’est la France !

Gabriel Hanotaux de l’Académie Française écrivait en 1911 que Jeanne était venue « pour sauver le royaume de France » et elle est venue « de par Dieu » : ce sont les deux points intangibles : la mission et l’inspiration. De cette double affirmation qui est sa forteresse, rien ne l’arrachera, ni séduction, ni crainte.
Or, c’est justement sur ces deux points que va porter l’effort des juges : abolir la mission, nier l’inspiration ; établir qu’elle n’a pas été envoyée « par Dieu » vers « le Roi » ».
« Les juges vont se mettre à trois cents pour déraciner ce lys ». « Suprême passe d’armes, d’où la noble fille sortira vaincue… et triomphante. » !
« La vérité, selon Gabriel Hanotaux, est que toute l’époque fut complice de la condamnation. Tous, et surtout les clercs, puisqu’elle fut l’œuvre d’un tribunal ecclésiastique. Les uns errèrent par l’acte et la parole ; les autres par l’abstention et le silence. Le véritable mystère est là ; il faut l’accepter dans toute son ampleur. »
« Jamais, dit Thomas de Quincey, depuis la création de la terre, il n’y eut un procès comme celui-ci, si on l’exposait dans toute la beauté de la défense et dans toute la diabolique horreur de l’attaque. »

L’analyse objective des faits montre que Sainte Jeanne d’Arc et la France ne font qu’une. La France après avoir rayonné dans le monde entier est aujourd’hui enchainée et jugée depuis trop longtemps par des tribunaux sataniques. Ils ont maintenant condamné notre beau et indispensable pays à disparaitre.
Nous, clercs et laïcs, n’avons pas sauvé notre Sainte guerrière des flammes, allons nous laisser la sentence de mort tomber sur la France et à travers elle, sur toutes les nations ?
Il nous reste peu de temps pour prendre la mesure du combat qui nous attend, puisse Sainte Jeanne d’Arc, par son sacrifice et sa présence, nous éclairer et nous armer de courage.

Stéphanie Bignon

APPEL POUR L’ÉGLISE ET POUR LE MONDE

Aux fidèles Catholiques et aux hommes de bonne volonté

Veritas liberabit vos.
Jean 8:32

En ce temps de très grave crise, nous, Pasteurs de l’Église Catholique, en vertu de notre mandat, considérons comme notre devoir sacré de lancer un Appel à nos Confrères dans l’Épiscopat,au Clergé, aux Religieux, au Peuple de Dieu et à tous les hommes de bonne volonté. Cet Appel est également signé par des intellectuels, des médecins, des avocats, des journalistes et des professionnels, qui en partagent le contenu. Il est ouvert à la signaturede ceux qui voudront en partager le contenu.

Les faits ont montré que, sous prétexte de l’épidémie de Covid-19, en bien des cas les droits inaliénables des citoyens ont été violés, en limitant d’une manière disproportionnée et injustifiéeleurs libertés fondamentales, y compris l’exercice de la liberté de culte, d’expression et de mouvement. La santé publique ne doit pas et ne peut pas devenir une excuse pour bafouer les droits de millions de personnes dans le monde, et encore moins pour exonérerl’autorité civile de son devoir d’agir avec sagesse pour le bien commun; cela est d’autant plus vrai que les doutes croissent quant à l’effective contagiosité, à la dangerosité et à la résistance du virus: de nombreuses voix faisant autorité dans le mondede la science et de la médecine confirment que l’alarmisme à propos du Covid-19 amplifié par les médias ne semble absolument pas justifié.

Nous avons des raisons de croire – sur la base des données officielles relatives à l’incidence de l’épidémie, et sur celle du nombre de décès – qu’il existe des pouvoirs fort intéressés àcréer la panique parmi la population dans le seul but d’imposer de façon permanente des formes de limitation inacceptables de la liberté, de contrôle des personnes, de suivi de leurs mouvements. Ces formes de limitions liberticides sont un prélude inquiétantà la création d’un Gouvernement Mondial hors de tout contrôle.

Nous croyons aussi que dans certaines situations les mesures de confinement prises, y compris la fermeture des activités commerciales, ont conduit à une crise qui a submergé des secteursentiers de l’économie, ce qui favorise l’ingérence des puissances étrangères, avec des répercussions sociales et politiques graves. Ces formes d’ingénieriesociale doivent être empêchées par ceux qui ont la responsabilité du gouvernement, en adoptant des mesures pour protéger les citoyens, dont ils sont les représentants et pour les intérêts desquels ils ont l’obligation de s’engager. Il est également nécessaired’aider la famille, cellule de base de la société, en évitant de pénaliser déraisonnablement les personnes faibles et âgées par la séparation forcée et douloureuse de leurs proches. La criminalisation des relations personnelles et sociales doit également êtrejugée comme une partie inacceptable du projet de ceux qui favorisent l’isolement des individus afin de mieux les manipuler et les contrôler.

Nous demandons à la communauté scientifique de veiller à ce que les soins pour le Covid-19 soient promus honnêtement pour le bien commun, en évitant scrupuleusement que des intérêtsiniques influencent les choix des gouvernements et des organismes internationaux. Il n’est pas raisonnable de pénaliser des remèdes qui se sont révélés efficaces, souvent peu coûteux, uniquement parce qu’on veut donner la priorité à destraitements ou des vaccins qui ne sont pas aussi fiables mais qui garantissent aux sociétés pharmaceutiques des bénéfices bien plus importants, qui pèsent sur la santé publique. Nous rappelons également, en tant que Pasteurs, que pour les Catholiques, il est moralementinacceptable de recevoir des vaccins dans lesquels du matériau provenant de fœtus avortés est utilisé.

Nous demandons également aux Gouvernements de veiller afin d’éviter de la manière la plus rigoureuse toute forme de contrôledes personnes, à la fois par le biais de systèmes de suivi et par toute autre forme de localisation : la lutte contre le Covid-19 – aussi grave soit-il – ne doit pas être le prétexte pour approuver des projets douteux d’entités supranationales nourrissantde très forts intérêts commerciaux et politiques. En particulier, les citoyens doivent avoir la possibilité de refuser ces limitations de la liberté personnelle, sans qu’il soit imposé aucune forme de sanction à ceux qui ne veulent pas recourir aux vaccins,ni accepter des méthodes de suivi et tout autre instrument similaire. Il faut considérer également la contradiction flagrante dans laquelle se trouvent ceux qui poursuivent des politiques de réduction drastique de la population et qui se présentent en mêmetemps comme des bienfaiteurs de l’humanité sans aucune légitimité politique ou sociale. Enfin, la responsabilité politique de ceux qui représentent le peuple ne peut absolument pas être confiée à des techniciens qui vont jusqu’à revendiquer pour eux-mêmesdes formes inquiétantes d’immunité pénale.

Nous demandons instamment aux médias de s’engager activement dans uneinformation objective qui ne pénalise pas la dissidence en recourant à des formes de censure, comme cela se produit couramment sur les réseaux sociaux, dans la presse et à la télévision. L’information correcte exige qu’un espace soit accordé aux voix qui nesont pas alignées sur la pensée unique, permettant aux citoyens d’évaluer consciemment la réalité, sans être indûment influencés par des interventions partisanes. Une confrontation démocratique et honnête est le meilleur antidote au risque de voir imposéesdes formes subtiles de dictature, vraisemblablement pires que celles que notre société a vu naître et mourir dans un passé récent.

Enfin, Nous rappelons, en tant que Pasteurs responsables du Troupeau du Christ, que l’Église revendique fermement sonautonomie dans le gouvernement, dans le culte, dans la prédication. Cette autonomie et cette liberté sont un droit inhérent que le Seigneur Jésus-Christ lui a donné pour la poursuite de ses propres fins. Pour cette raison, en tant que Pasteurs, Nousrevendiquons fermement le droit de décider de manière indépendante de la célébration de la Messe et des Sacrements, tout comme nous exigeons une autonomie absolue dans les questions qui relèvent de notre juridiction immédiate, telles que les normes liturgiqueset les méthodes d’administration de la Communion et des Sacrements. L’État n’a pas le droit de s’ingérer, pour quelque raison que ce soit, dans la souveraineté de l’Église. La collaboration de l’Autorité ecclésiastique, qui n’a jamais été refusée, ne peutimpliquer de la part de l’Autorité civile des formes d’interdiction ou de limitation du culte public ou du ministère sacerdotal. Les droits de Dieu et des fidèlessont la loi suprême de l’Église à laquelle elle ne veut ni ne peut déroger. Nous demandons que les limitations à la célébration des fonctions publiques du culte soient supprimées.

Nous invitons les personnes de bonne volonté à ne pas se soustraire à leur devoir de coopérer en vue du bien commun, chacune selon son état et ses possibilités et dans l’esprit d’une sincèreCharité fraternelle. Cette coopération, souhaitée par l’Église, ne peut cependant être dissociée du respect de la Loi naturelle, ni de la garantie des libertés des individus. Les devoirs civils auxquels les citoyens sont tenus impliquent la reconnaissancepar l’État de leurs droits.

Nous sommes tous appelés à évaluer les faits actuels conformément à l’enseignement de l’Évangile. Cela implique de choisir son camp : avecle Christ, ou contre le Christ. Ne soyons pas intimidés ou effrayés par ceux qui nous font croire que nous sommes une minorité : le Bien est beaucoup plus répandu et puissant que ce que le monde veut nous faire croire. Nous nous trouvons en trainde lutter contre un ennemi invisible, qui sépare les citoyens entre eux, les enfants des parents, les petits-enfants des grands-parents, les fidèles de leurs pasteurs, les étudiants des enseignants, les clients des vendeurs. Ne permettons pas que des sièclesde civilisation chrétienne soient anéantis sous le prétexte d’un virus, en laissant s’établir une tyrannie technologique haineuse dans laquelledes personnes anonymes et sans visage peuvent décider du sort du monde en nous confinant dans une réalité virtuelle. Si tel est le plan auquel les puissants de la terre entendent nous plier, sachez que Jésus-Christ, Roi et Seigneur de l’Histoire, a promisque « les portes des Enfers ne prévaudront pas » (Mt 16, 18).

Confions à Dieu Tout-Puissant ceux qui gouvernent les nations, afin qu’ils les éclairent et les guident dans ces moments de grande crise. Qu’ils se souviennent que, tout comme le Seigneurjugera les Pasteurs pour le troupeau qui leur a été confié, de même Il jugera ceux qui détiennent le pouvoir et qui ont le devoir de préserver et de gouverner leurs peuples.

Prions avec foi le Seigneur pour qu’Il protège l’Église et le monde. Que la Très Sainte Vierge, Auxiliatrice des Chrétiens, écrase la tête de l’ancien Serpent, confonde et déroute les plansdes enfants des ténèbres.

8 Mai 2020
Vierge du Rosaire de Pompéi

Signataires: Mgr. Carlo MariaViganò, archevêque, nonce apostolique ; Cdl Gerhard Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi ; Cdl Joseph Zen Ze-kiun, évêque émérite de Hong Kong ; Cdl Janis Pujats, évêque émérite de Riga ; Mgr Luigi Negri, archevêque émérite deFerrara-Comacchio ; Mgr Thomas Peta, archevêque métropolite d’Astana ; Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire d’Astana ; Mgr Jan Pawel Lenga, archevêque émérite de Karaganda ; Mgr Rene Henry Gracida, évêque émérite de Corpus Christi; Mgr Andreas Laun,évêque auxiliaire de Salzburg

VERITAS LIBERABIT VOS © 2020

Appel

Covid19, l’ultime assaut contre notre souveraineté ?

Après notre monnaie et nos frontières, notre système immunitaire, notre ultime protection, est la victime des globalisateurs sans scrupule.

Petit rappel de faits et informations au sujet de la crise « sanitaire » en cours:
– De plus en plus de médecins et professeurs parlent du Covid19 comme d’une simple grippe (Pr Raoult, Dr Trotta et bien d’autres) ;
– Selon ces mêmes médecins, l’épidémie diminue et disparaitra spontanément, le vaccin est donc inutile ;
– Des traitements peu coûteux existent contre cette pathologie ;
– Les principales victimes sont : Les personnes âgées et les personnes fragiles.

Question : pourquoi devrions-nous tous craindre ce banal virus au point d’assigner à résidence la moitié de la planète ? Ce virus cacherait-il autre chose ?
Cacherait-il par exemple une impérieuse nécessité de :
– relancer le système financier au bord de l’asphyxie (la fonction « RESET » passant par une nécessaire phase d’arrêt !),
– contrôler des populations toujours plus rétives face à la spoliation de leurs biens et libertés,
– continuer pour quelques-uns, à s’enrichir toujours plus et toujours impunément…

Depuis la fin de l’année 2019, nous assistons parallèlement aux déploiements des antennes 5G, au lancement des satellites d’Elon Musk, à la banqueroute sourde des banques… et à l’inflation de la peur face à l’ennemi, le terrible Covid19 ! Coïncidence ?
De Bill Gates et ses vaccins fabriqués dans les laboratoires dont il est actionnaire, à Elon Musk et ses constellations de satellites à faible altitude pour que partout tous puissent rejoindre le « Net » (filet, en français !), à Mark Zuckerberg (Face Book), Steve Jobs (Apple), Jeff Bezos (Amazon), …la terre et l’espace sont privatisés. Quelques fortunes ont planté leurs griffes dans la médecine, la communication, la distribution, l’énergie… ils se partagent la Création !

Par les vaccins nous recevrons des agents stérilisants, des germes de maladies au long cours et une puce, moyen de rester visible pour la « matrice » démoniaque qui préside momentanément à ce monde. Avec la 5G, tous les vaccinés deviendront de petites antennes relais et tout sera sous-contrôle ou ne sera pas. Les satellites de SpaceX, nous rendront le ciel inaccessible… à l’observation, tant ils seront nombreux (42 000 satellites prévus). Le monde sera encagé.

Pour que nous acceptions cette domination toujours plus prégnante et coercitive, ils nous ont promis que nous serions « comme des Dieux » et nous les avons crus ! Nous avons consommé leurs promesses, leurs produits jusqu’à nous en rendre dépendants, esclaves et malades. Maintenant, nous commençons à comprendre que nous sommes tout nus dans le désert, confinés, isolés, chassés de nos vies.

Ces biotechnologies et technologies de l’information nous affaiblissent, nous empoisonnent chimiquement et par rayonnements électromagnétiques. Un organisme normalement constitué répond à toute agression en fabriquant des moyens d’alerte et de défense.
Les tests de dépistage proposés aujourd’hui ne mesurent que cette réaction de nos organismes et ne peuvent, à eux seuls, permettre d’analyser la nature de l’agression. Or, nos systèmes immunitaires sollicités abusivement par la chimie, les drogues et les rayonnements deviennent sujet à toutes sortes de défaillances et de disfonctionnements.

Nous sommes en train de mourir par où nous avons péché. Il nous faut réagir vite et refuser de continuer à jouer leur jeu de dément.

Quelle peur peut être assez forte pour que nous acceptions cet emprisonnement ? La peur du gendarme, le conformisme, l’instinct grégaire ne pourraient suffire à nous asservir aussi brutalement et « ils » le savent. Mais nous avons peur de la mort et cette peur de la mort sera leur arme de destruction massive. Or le monde qu’ils fabriquent sera bien pire que la mort car il sera sans espérance, sans Ciel. Trépasser c’est passer au-delà, c’est vivre pour toujours. « N’ayons pas peur » du combat et reprenons possession de nos vies pour nous et ceux qui viennent !

Stéphanie Bignon

Où est passée notre faim ?

 

 

« L’Eucharistie est le pain qui cherche la faim », Saint Augustin.

La peur du Covid19, la peur du gendarme, seraient-elles des causes suffisantes pour rendre notre faim supportable, pour nous faire perdre de vue le Vrai Sauveur ?

Quoi que puisse être ce virus (vrai, faux, artificiel, …), il ne peut objectivement pas justifier le dérèglement mortel de nos vies matérielles et encore moins de nos vies spirituelles. Toutes les interdictions concernant les sacrements ont été librement consenties voir anticipées… nous ne sommes pas des martyrs mais des incroyants lamentables. Dans ces conditions, nous ne méritons plus la Sainte Eucharistie.

Demander à qui que ce soit de nous rendre ce qui n’appartient à personne qu’à Dieu est le signe d’un grand dérèglement. Tout ce que nous vivons a été rendu possible grâce à notre manque de discernement, notre crédulité et notre manque de foi.
Si nous reprenions conscience que la force réside dans la Foi, que « le Seigneur est notre berger et que rien ne saurait nous manquer », que la seule chose que nous devons craindre est d’offenser Dieu, nous nous lèverions. Faire la queue devant une boulangerie pour le pain quotidien nous semble normal et vital… alors !?

Nos églises ouvertes ou fermées, sont les écrins du Saint Sacrement, de reliques de nos Saints, de nos plus beaux et douloureux souvenirs … Elles sont comme des poules au long coup et aux larges ailes pour abriter leurs petits. Retrouvons les pour implorer le Ciel et redevenir dignes de la Sainte Eucharistie. Prions ensemble devant les portes closes ou devant les tabernacles.

La liberté de demander l’aide de Dieu pour nos frères et nous-mêmes n’est pas un droit mais le DEVOIR du chrétien !

Le 8, le 10, le 21, le 31 mai et tous les dimanches retrouvons nos églises, retrouvons-nous pour l’amour de Dieu !

Stéphanie Bignon

Notre Dame de Paris, Vincent Lambert et Julian Assange

 

Soyons raisonnables, qu’est ce que ce Covid 19, même aussi dévastateur que prétendu, face aux trois avertissements de 2019 ?

Le lundi 15 avril, la charpente de Notre Dame est en feu… La charpente tient les murs et nous rappelle Saint Joseph le charpentier et Protecteur de l’Eglise universelle. Nous ne fêterons pas Pâques 2019 à ND. La grande question devient alors : Restaurer ND à l’identique ou pas. Paris est l’écrin de ce joyau de la Chrétienté et pourtant les monuments ésotériques y pullulent à l’instar de Lucifer dominant la ville lumière au sommet de la colonne de la Bastille… Un ménage ne s’imposerait-il pas après avoir fortifié nos âmes et avant d’entreprendre ces travaux ? Mais rien.

Vincent Lambert meurt le 11 juillet 2019 à 8 h 24 au CHU de Reims. Il est innocent mais condamné par le Conseil d’Etat à une mort lente, publique et seul. Quelques réactions éparses soutiendront ses avocats mais rien de déterminant. Depuis les grandes « Manifs pour tous » où nos étendards ont été remplacés par des bonnets phrygiens, les vrais rebelles en colère ont leurs éteignoirs. Donc rien.

Image Media Presse Info

Julian Assange est incarcéré à la prison de haute sécurité de Belmarsh depuis le 11 avril 2019 après 7 ans de confinement à l’ambassade d’Equateur pour échapper à la justice américaine. Elle lui reproche d’avoir divulgué des informations stratégiques, d’avoir en réalité, librement fait son travail de journaliste. Certains soutiendront ce héros mais trop peu pour inverser la donne. Toujours rien.

Trois fois rien que nous retrouvons comme ingrédients du confinement abusif de trois milliards d’individus dans le monde :
– Une information à la botte d’un système sans vergogne qui fabrique les artifices nécessaires pour se cacher le temps de sa mutation mortifère ;
– Les plus faibles d’entre nous qui meurent seuls ;
– Et l’Eglise, sans protection qui agonise avant son martyr …

Dommage que ces trois fois rien ne nous aient pas poussés dehors quand-il était encore temps… Certains ont regardé les Gilets Jaunes du haut de leur mépris. Pourtant, ils apportaient et ils apporteront une grande partie de la solution, la ferveur populaire qui peut renverser les montagnes avec l’aide de Dieu.

Stéphanie Bignon